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Make some trouble, it’s five minutes before chaos Δ Zorn & Thorn & Vitaly

Anonymous
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2015-11-18, 17:38


Troublemakers
Alexander - Alexandre - Vitaly


Musique Δ
T'ouvres les yeux, il devait être près de quatre heures du matin & tu devais avoir dormi tout au plus deux heures, peut-être moins & pourtant ton visage semblait s'illuminer. Cela faisait déjà un certain moment que tu prévoyais cette sortie avec son frère & aujourd'hui était le grand jour. Pour toi, tout ce cheminement, tout ces préparatifs, n'était qu'un jeu. Ce n'était qu'un ensemble de petits éléments à assembler afin d'atteindre la victoire. Vous étiez les Winners de la vie, t'en étais persuadé. Tu t'extirpes de tes draps encore chauds, et tente d'enfiler en pantalon en sautant à moitié à cloche pied, faisant ainsi un premier véritable boucan. Tu te retournes soudainement, ôtant d'un geste brusque les couvertures de ton frère. Il à l'air mort, en même temps la  gueule de bois à haut niveau sa pardonne pas, m'enfin, pas de pitié, il avait décidé de boire comme un trou la veille & il allait devoir l'assumer.

« Debout sale mioche. Délattes-tu, après tout t'étais l’aîné. On a du boulot aujourd'HUI, &, IL EST SUPER TARD. Tu mens, pour essayer de le faire paniquer, mais tant pis. Il fallait bien réveiller cette marmotte d'une manière ou d'une autre. Tu lui pinces alors le nez, pour le forcer & ce lever & à la première réaction de sa part tu t’éclipse aussitôt en vitesse.

Tu attendais Alexandre devant la porte d'entrée adossé contre un mur, t'étais prêt depuis ce qui te semblait être des lustres & dès qu'il eu terminé tu pris le devants. Vous aviez passer des jours à savoir où ce petit con qui aidait la société à vous couler habitait. Il n'était pas d'ici & visiblement il était comme vous une sorte de sans domicile fixe, sauf que vous, vous vous faisiez expulsé & que lui était assez pété de thune pour avoir plusieurs demeures.

Il devait être pas plus de six heures trente lorsque vous étiez arrivé au bas de l'immeuble, un endroit chic dans un quartier du même goût, y avait pas à dire celui que vous traquiez avait véritablement un goût pour le luxe. Tu uses de tes pouvoirs sur toi & ton frère, ainsi vous alliez pouvoir pénétrer les lieux sans éveillé le moindre soupçon. De plus, il n'y avait personne pour traîner dans les rues à une heure pareille. Les habitants de la nuits allaient se coucher tandis que le peuple du jour somnolait encore pour les prochaines heures. Vous étiez certainement les seuls à avoir la malice nécessaire pour agir à une heure aussi propice.

A traverser d'innombrable mur tu perdais presque patience en attendant comme un con l’ascenseur, ce devait être un soulagement pour Thorn de savoir que tu allais enfin arrêter de taper des d'étranges rythme du pied. Arrivé dans l'appartement voulu tu retires les effets de ton pouvoir, il allait être temps d'agir. Tu te prend pour le James Bond des temps moderne & inspecte l'appartement tel un véritable ninja.

« Il doit encore dormir ! » déclare-tu tout bas à ton acolyte.

Tu fais alors irruption dans ce qui semble être la chambre du monsieur que vous êtes venu faire chier. Tu te plantes au pied son lit & pour la deuxième fois de la journée tu te retrouves à confisqué les draps d'une tierce personne à son réveil.

« Bonjour monsieur Italy, le v t'as légèrement échappé, brawf, pas grave.J'espère que vous avez bien dormi, je dois vous parler de choses SÉRIEUSES. En plus d'avoir le nom d'un pays où on ne mange que des pâtes, vous ruinez l'économie de ce pays. Nous vous prions donc de bien fermer vos beaux hôtels & quitter le pays, l'asile politique ça existe pas pour les pasta. »  Tu fais le tour du lit & pose ton cul sur le matelas comme si t'étais chez toi.

« Ah ! La douce jeunesse ! En créant une chaîne d'hôtel, tu crée l’emploi & aide par conséquent l'économie d'équilibrium ! C'est une honte de soutenir un tel gouvernement de la sorte ! C'est inadmissible, vous ne trouvez pas ? Il serait dommage qu'on doivent régler ça par nous même. » Sourire narquois.

Tu poses tes pieds sur la table de nuit & fait tomber deux trois trucs par terre tout en mettant visiblement de la boue sur des document important. Mais bon, c'était pas si grave de toute manière, il était riche & allait bien vite partir !
Vitaly entre deux gros con ça donne a peu près ça
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Anonymous
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2015-12-06, 17:19
five minutes before chaos
MUSIQUE DANS LES OREILLES ▬ Enroulé dans sa couette, il ne souhaite qu'une chose, ne plus bouger. À la recherche de chaleur, il se colle à tout ce qu'il lui en procure, sans se poser de questions. Les écouteurs dans les oreilles, il continue d'écouter sa musique, c'était l'un des seuls moyens qu'il avait trouvé pour dormir ; même si la présence de son frère l'aidait déjà un tant soit peu. Tel un chat, il se roule en boule, disparaissant de plus en plus sous les draps, sommeil, il avait complètement succomber à la torpeur ; mais malheureusement pour Alex deuxième du nom, cette douce chaleur et cette sérénité nouvelle ne furent que de courte durée. La chaleur s'évapore, quelque chose n'est plus là, la couette s'envole alors qu'une voix dépasse celle de sa musique. Il entend un « sale mioche... Il est super tard. » Le voilà qui tourne son regard alors vers le réveil à côté ; quatre heures du matin...

Attrapant le réveil et le jetant à travers la chambre, il lâcha un gros « Ta race, je dors ! » Et le voilà qui se met de nouveau en boule... Malheureusement pour lui, sa moitié comptait vraiment sur lui pour se lever, il s'amusa même à lui pincer le nez ; trop, c'était trop, mais voilà qu'une fois debout, le double n'était plus là. « Sinistre enculé. » Qu'il lâche, osef de la politesse, il était maintenant prêt. Pourquoi faire ça maintenant ? Pourquoi à quatres heures du matin ? Aucun foutus idée ; mais ils n'avaient clairement pas le choix ; ils devaient le faire, ils avaient prévu ce plan depuis quelque temps maintenant. Attrapant un jogging bien large style treillis militaire dans un état pitoyable et un sweet à capuche noir, le jeune homme à la tignasse blanche prépara son sac et ses affaires après s'être habillé. Pas de retour en arrière possible ; malgré le réveille complètement foiré, Alex ne pouvait s'empêcher d'arborer un sourire ; ouais, pas de doute possible, ils allaient s'éclater aujourd'hui.

En sortant de la pièce, Alex le voit, il est adossé, prêt à y aller. Le chemin allait être long, long et chiant. Esquivé, le système, c'était là son rôle, il avait mémorisé le meilleur chemin pour croiser le moins de caméras possible afin d'arriver chez l'autre énergumène ; la sale race ultra riche qui aidait le gouvernement ; leur principal ennemi. Le chemin fut effectivement long, mais quand on veut passer inaperçu dans ce monde, vaut mieux être prudent et prendre son temps. Deux heures trente, il leur aura fallut deux heures trente aux jumeaux pour atterrir chez la cible, Vitaly Romanov ; qu'il se prépare à faire dans son froc...

Alex et son frère usent de leurs compétences, le premier de sa mémoire et l'autre de son pouvoir ; tel un passe-muraille. Les murs défilent, s'accorder ne devrait pas être trop difficile pour les deux moitiés, mais pourtant guidé son frère relevait d'une putain d'épreuve ; quand on est con, on est con. Les voilà enfin arrivées à destination, le pouvoir s'évapore et la voix de son acolyte s'élève. Bien sûr qu'il doit encore dormir, il est six heures du mat, lui il peut se la couler douce de toute façon, il est blindé de pognons. Pour eux, c'était différent, eux, ils devaient recourir à ce genre de stratagème. Ils avaient flairé un gros poisson ; espérons qu'ils n'aient pas vu trop gros ; au pire qu'est-ce qui pourrait leur arriver ?

Alex premier du nom entre en trombe dans la chambre et le deuxième se facepalm devant sa connerie. Il avait oublié quelque chose, quelque chose de primordial... M'enfin, laissons le s'afficher pendant qu'il fait son discours. Alors que son frère se trompe de prénom et s'amuse avec leur victime, le deuxième inspecte chaque recoin de la pièce, spacieux, des trucs sympas... Y'avait forcément des trucs à récupérer ici, c'était clair net et précis que ce n'était pas de la quincaillerie, y'avait de quoi se faire du fric... Mais à quoi bon récupérer des objets quand on peu pomper la thune directement à l'intéressé ? Se massant la nuque, il semble que son frère a fini son cinéma... Après avoir jeté un vase au sol histoire d'attirer l'attention, Alex lui jeta un masque, même masque qu'il avait lui-même sur la gueule.

T'as oublié de mettre ça espèce de con ; j'te rappelle qu'on n'est pas sensé voir ton visage lors d'un braquage. Abrutis de Zorn...

Usé de son pseudonyme, un pseudo encore inconnu des gens. Le masque devant sa face, il s'approche à son tour du lit de son nouvel interlocuteur.

L'autre imbécile qui ne sait pas comment vous vous appelez vous a un peu expliqué les raisons de notre présence ici ? Alors monsieur Vitaly j'pense que vous n'avez pas de temps à perdre dans votre lit.

Au pire, il avait de quoi le faire déguerpir dans son sac s'il devait en arriver là. Il s'approche de nouveau de la table de nuit et jette la lampe de chevet au sol ; autant en rajouter un peu, y'avait pas assez de bruit pour lui ; pas encore assez de bruit non. Boum boum, t'aimerais vraiment entendre boum boum.


we're very very goooooooooooooooooood
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Vitaly Romanov
Vitaly Romanov
Make some trouble, it’s five minutes before chaos Δ Zorn & Thorn & Vitaly Tumblr_inline_mkpr8t2nBb1qmt86u
2015-12-07, 20:22
ft. les jumeaux
musique – Les valises attendaient déjà à côté de la porte depuis la veille. A chaque fois que tu passais devant, tu te souvenais que demain était le grand départ. Ta courte semaine à Equilibrium prenait fin et demain tu t'envolerais vers une nouvelle destination sans savoir quand tu reviendrais. Ce serait mentir que de dire que la ville texane ne te manque jamais. Elle a toujours été le cœur de ta richesse, une sorte de cocon bien loin de ton lieu de naissance et pourtant, tu n'avais jamais l'impression d'en profiter assez, toujours pris ci et là par des éléments perturbateurs relativement importants pour le reste de ta carrière. Il t'arrivait de t'absenter trois mois, puis an, parfois même plus. Tu contenais les adieux déchirants à chaque fois que tu quittais ta chambre fétiche avec tes habitudes bien ancrées dans les draps. Tu n'avais pas passé la nuit à festoyer – tu étais immature mais pas complètement stupide. L'avion n'était définitivement pas ton moyen de locomotion favori et devoir l'endurer avec la gueule de bois était sans doute la pire idée qu'il soit – pour avoir tenté l'expérience à maintes reprises. Tu dormais paisiblement et...
Bonjour monsieur Italy. Tu te redressais en trombe, paniqué. On t'avait arraché tes draps et te voilà nu face à deux inconnus à l'allure suspecte. Tu restais les écouter sans vraiment comprendre ni réaliser de qui il pouvait bien s'agir : tu avais des ennemis, des fans. Et à force, tu ne savais plus les différencier. Dans tous les cas, ce connard a écorché ton nom, ça te suffisait pour savoir dans quelle case le mettre. L'autre à côté portait un masque, mais il avait la même dégaine que l'autre. T'étais plus tout à fait sûr d'être clean. Tu jetais un œil discret sur le côté mais non, aucune bouteille d'alcool ne traînait sur le sol. Alors quoi ?
Il était six heures du matin.
Il était six heures du matin et tu étais loin de te douter des péripéties qui vont subvenir.

Tu étais resté silencieux tout le long et tu n'avais pas vraiment cherché à te cacher, tu n'étais pas pudique même si la présence d'hommes dans ta chambre en train de te reluquer avait tendance à te repousser. Mais il faut croire que la fatigue prenait aisément le dessus sur la situation.
Tu tendais ta main sur le côté, jusqu'à la table de chevet et tirait le téléphone vers toi. Tu composais un numéro que tu connaissais par cœur ; l'accueil.

« Room service Romanov Hotel, j'écoute. »
« Il me semblait avoir précisé que vous ne pouviez faire monter que des femmes dans ma chambre, c'est quoi ce bordel ?! Je ne vous paye pas à vous toucher pendant vos heures de travail. »
« Monsieur Romanov je. Quoi ? La jeune femme au bout du fil semblait un peu confuse. De quoi voulez-vous parler ? Personne n'est... »

Tu fixais les deux garçons un court instant. « Non, c'est rien. Laissez tomber. » Tu raccrochais et tu réalisais enfin que ces types ne te voulaient sans doute pas du bien.
Tu te levais (la nouille à l'air oui toujours, pas de problème) avec ton air las détestable, tes sourcils haussés et ton souffle exaspéré. Tu essayais de te rappeler de leur tirade précédente et ça te revenait à moitié : fermer ta chaîne d'hôtels. Ah.
Haha.

« Hahahaha... Tu pouffais. J'ai plus des sous-fifres que des employés. » Si seulement tu pouvais atteindre ton pistolet caché sous le matelas. Mais le gamin sans masque devait se situer juste au-dessus, tu ne pouvais pas te permettre de courir jusqu'à lui – surtout dans cette tenue et aussi peu réveillé.

« Vous perdez votre temps. » Et merde, ça restait tes appartements. Tu allais vers la porte et enfilais ton peignoir en soie. « Ravi de vous avoir rencontré et à la revoyure. »

Tu désignais la porte du doigt. Dégagez.
Tu n'étais même pas sûr que tout cela soit un rêve, un cauchemar ou la réalité. C'était trop confus.  


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Anonymous
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2015-12-21, 01:15


Troublemakers
Alexander - Alexandre - Vitaly


Musique Δ
Il y avait chez vous les jumeaux dit-on une certaine complémentarité tout en étant similaire. On raconte même que vous êtes capable de communiquer par la simple pensée. Tu te demandes aujourd'hui encore qui est l'imbécile qui avait osé sortir des conneries pareilles. Alexandre & Alexander, des noms quasi similaire, des visages superposable & pourtant, vous étiez bien loin d'être identiques l'un à l'autre, ou alors tu refusais de le croire. Vous n'êtes qu'un, vous êtes un tout, mais il n'est pas toi. C'est peut-être pour cette raison que vous passez plus de temps à vous engueuler à premier vue, alors que c'est tout autre chose, vous vous complétez, simplement. Enfin, ce n'était pas comme si l'un était là pour rattraper l'autre, à deux, vous étiez les pires.

Le bruit d'un vase qui se brise attire ton attention, évidemment, ton cher frère en était à l'origine. Il était incapable de faire les choses normalement, non, lui les faisait dans les règles de l'art & pour ce, quoi de mieux que de capter l'attention d'une personne tout en détruisant le décor. Rien.

Il te jette alors quelque chose au visage & tu ne tardes pas à réalisé qu'avec l'empressement t'avais légèrement oublié quelque chose, un truc du genre assez important pour sauver tes fesses et rester dans l'anonymat. Ah, oups ? Tu sais pas trop quoi faire du coup avec, dans tout les cas, c'était trop tard. Votre victime du jour avait déjà vu ton visage, que tu le couvres maintenant ou non ne changeait plus grand chose à la donne.

T'as oublié de mettre ça espèce de con ; j'te rappelle qu'on n'est pas sensé voir ton visage lors d'un braquage. Abrutis de Zorn...

T'as envie de lui répondre un "NOOOON JURE", mais t'en abstient. Non, franchement, en deux heures de trajet, il aurait pas pu te le dire juste un peu avant. Tu grimaces et lui tires la langue, le connaissant t'étais à peu près sûr qu'il avait comprit que t'en avait plus rien à faire, s'il en inquiétait vraiment, il t'aurais prévenu avant, voilà tout.

Ton double s'adresse alors au cher propriétaire de l'hôtel de luxe que vous comptiez saccager, si ce dernier ne se décidait pas à coopéré.

Alors monsieur Vitaly, j'pense que vous n'avez pas de temps à perdre dans votre lit.

Deux chose à noter: de un, c'était Vitaly & non Italy. De deux, Thorn avait raison, la patience c'était franchement pas votre truc. Mais monsieur avait du mal à comprendre, il est là nu comme un vulgaire ver dans sont lit à ne pas réellement comprendre, appelant le room service pour comprendre la situation il n'allait pas bien aller loin & il ne tarda pas à comprendre. C'est pourquoi quand il eu terminé, tu ne tardas pas à détruire l'objet de manière faussement malencontreuse.

J'ai plus des sous-fifres que des employés. déclare-t-il riant. Pour vous, employé ou sous fifre, il n'y avait pas grande différence, il apportait à l'économie de ce pays et c'est tout ce qui vous intéressait.

Vous perdez votre temps. Annonce t-il comme s'il savait tout & enfile un peignoir, monsieur se sens soudainement gêné ?

Ravi de vous avoir rencontré et à la revoyure.
Il vous désigne la porte et ça te fait tout bonnement exploser de rire, il n'avait pas comprit. Effectivement, vous jouiez jusque là aux deux rigolos qui se sont infiltrés pour faire peur à un célèbre et riche petit gars. Quel dommage, parce que même si c'était le cas, il n'imaginait certainement pas avec quels jouets vous jouiez. Tu te relèves et t'étires. Il est bien loin de se douter de ce dont vous étiez capable, et si tu devenais un temps soit peu sérieux ?

« Ahaha. Vous m’attristez, monsieur Vitaly, dois-je vous prouvez que malheureusement un, vous ne rêvez pas et de deux, que nous jouons uniquement avec nos propres règles ? Pas les vôtres. Sourire narquois. Tu détournes le regard vers ton frère, une petite démonstration, Thorn ? »

Tu t'avances vers l'ukrainien, un pas après l'autre et plante ton regard dans le sien.
«  Je pensais que vous étiez un homme libre, Vitaly. Vous rhabillez-vous parce que vous avez peur ? Ou bien parce que vous avez quelque chose à cacher à deux individus lambda ? Voyons, soyez à votre aise, vous êtes chez vous & la partie ne fait que commencer. »

Tu prends une chaise et la dépose derrière ton interlocuteur avant d'aller en chercher une seconde que tu poses face à la première, tu t'assieds alors.

« Asseyez-vous donc, nous allons commencer par un petit quizz, qu'en dites-vous ? Vous ne voulez pas ? Oh ! Ma foi, vous n'avez pas le choix, première question: à quoi nous jouons en ce moment même à votre avis ? Attention, une mauvaise réponse pourrait vous coûter quelques peu...cher. »

Vous ne voyez pas ? Vous vous amusiez comme jamais là.
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2015-12-27, 13:53
five minutes before chaos
MUSIQUE DANS LES OREILLES ▬ Et voilà ; ce qu'il craignait était en train d'arriver Alex... Cette situation de merde ; pourquoi avait-il fallu que cet abruti ne mette pas son masque ? Facepalm, il fait alors un tour de la pièce, encore une fois, il inspecte chaque recoin, chaque parcelle de l'endroit ; en quelque minute, cette pièce ainsi que le reste avaient été mémorisés. Il saurait où et quand bouger si ça se mettait à capoter ; mais il n'y avait aucune raison pour que ça dégénère à se point hein ? Se massant la nuque, le voilà qui se trouve perplexe devant la réaction de l'homme d'affaires. Il ne devait pas vraiment avoir compris ce qui était en train de se passer. Oh que non les deux frères n'allaient pas se barrer, pas maintenant en tout cas ; il fallait qu'il imprime dans son cerveau que ce n'est pas lui qui menait la danse, mais bien eux.

C'est d'ailleurs ce que Zorn alias Alex premier du nom tenta de lui faire comprendre ; de façon directe en arborant un sourire narquois ; de quoi flipper en vrai. Alex deuxième du nom soupir, en vrai, il le sent ; il le sent que ça va être la grosse merde et que pour pouvoir parvenir à leur but, ils allaient devoir recourir à un stratagème peu recommandable ; mais qui faisait d'eux ce qu'ils étaient ; des mecs pas normaux, pas banals. Zorn mène la danse, lui joue son petit numéro alors que Thorn s'éclipse le temps de quelques minutes ; histoire de mener son propre jeu à bien ; jeu auquel il avait hâte de jouer... Dieu qu'ils étaient bizarres putain. On lui avait demandé une démonstration, ça se préparait et dans le cas présent ; ça se vérifiait.

À son retour, son frère avait pris place sur une chaise devant leur proie ; lui proposant un petit quiz ; il avait bien eu raison de mener son petit jeu à bien. Un soupir presque lasse ; totalement désabusé devant cette situation qui ne menait presque à rien. Étrangement, Alex savait qu'intimider Vitaly ne serait pas une mince affaire, ils allaient devoir recourir à la « magie du spectacle » ; démontrer à quel point ils étaient sérieux et déterminés pour mener leur « mission » à bien. Les phalanges craquent sous le poids de sa paume, presque impatient d'en finir ; sa nuit avait été écourtée, il avait du sommeil à rattraper.

Au cas où l'idée vous viendrait de jouer à celui qui ne veut pas se prêter au jeu...

Voilà qu'il sort une sorte de petite télécommande de sa poche ; pour vous, cela ne semble pas grand chose ; vous vous dite peut-être qu'il va allumer la télé à distance... Vous êtes tellement loin de la vérité. Tant-pis pour le visage de Zorn, il fallait en finir vite ; lui filer la pétoche de sa vie ; lui faire comprendre qui dictait les règles et qui devait les suivre. Il appuie sur le bouton et une explosion se fait entendre ; juste en face ; une entreprise vole en éclats, le feu se propage. Voyons comment Vitaly allait réagir en comprenant qu'il était maintenant enfermé avec deux fauves dans une cage.

Sachez qu'une bombe est aussi placée ici... Et pas seulement ici d'ailleurs ; dans d'autres secteurs plutôt «aisés »… Vous voyez où je veux en venir ?

Se laissant tomber sur le lit après avoir mené son jeu à bien ; il lâcha alors en s'étalant de tout son long.

Alors je vous conseille de faire ce que l'autre vous dit ; parce que, contrairement à moi, il n'est pas très patient.

T'aimais faire boum boum, t'aimais entendre ce bruit. Espérons que tout ne se passe pas comme prévu ; comme d'habitude en somme.



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Vitaly Romanov
Vitaly Romanov
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2015-12-30, 19:05
ft. les jumeaux
sherlock (bonjour les accros de kpop) – T'avais fini par comprendre ; t'étais coincé. Coincé, fait comme un rat. C'était l'genre de scène qu'on n'voyait qu'dans ces vieux films policiers. Ces scènes toujours un peu confuse où c'était difficile d'imaginer que la victime allait s'en sortir quand ses bourreaux semblaient tout droit tombés d'un autre monde. C'est vrai qu'ils avaient l'air complètement décalés avec leurs cheveux blancs, leurs grands yeux ahuris et leurs masques inquiétants. T'avais fait profil bas quelques instants, tu prenais le temps d'avaler ta salive et t'essayais de jauger la situation. Une situation à laquelle tu ne pouvais visiblement pas échapper aussi facilement que tu le souhaiterais. Tu venais à l'évidence : courir jusqu'à ton arme près de ton lit serait du suicide tout comme le serait de prendre la fuite. C'était rare venant de toi ; mais tu avais peur. T'en étais pas au point où t'allais te recroqueviller dans un coin d'la pièce, non. C'est plutôt ce genre de peur un peu curieuse. Curieuse de voir jusqu'où elle peut aller.
Vous rhabillez-vous parce que vous avez peur ? Tu haussais un sourcil. Non c'est simplement que ça ne t'enchantait absolument pas de te promener le pénis à l'air devant deux gamins.

Au fur et à mesure de la discussion, c'était définitivement dans un scénario de film que tu te plongeais. Ils t'invitaient à jouer à un de leurs jeux et à t'asseoir face à eux, pour se regarder dans le blanc des yeux comme des amoureux transit ? T'avais doucement envie de rire mais tu préférais ne pas te faire remarquer et tu te soumettais à leurs ordres.
Tu prenais place, enfin. Attentif à chacun de leur mot. Ca ne t'arrivait pas souvent, à vrai dire. Mais tu savais te présenter sérieux, parfois.

A quoi jouons-nous en ce moment même ? Tu n'étais pas certain de comprendre la question. Tu n'avais pas pris la peine de répondre jusqu'à ce que l'autre clone finisse par l'ouvrir et te menacer. Puis soudain.
Boum.

D'un bond, tu t'étais retourné vers la grande baie vitrée par laquelle tu ne vis rien d'autre que des flammes ardentes danser sous tes yeux. L'enfer ?
Sachez qu'une bombe est aussi placée ici... Ton cœur venait de louper un battement. Ici, sous tes pieds ?
C'était de la folie. Mais au moins le message était clair. Tu ne pouvais pas foirer ton coup. Pas cette fois.

Pourtant, tu étais fou de rage. Combien de fois l'on te vantait les mérites de la haute protection d'Equilibrium, cité de la paix ? Balivernes. Tu avais toujours douté en les capacités du gouvernement et tu n'étais pas du genre à te leurrer : tu n'y portais jamais attention, égoïste que tu es – tant que tu pouvais y survivre et continuer à faire marcher tes affaires, tu pouvais passer outre n'importe quoi, dictature, corruption, terrorisme... Mais cette fois-ci, ça t'affectait toi. Ta survie, ton hôtel, ta réussite, ton argent, ton image. Tu te fichais pas mal des pertes qu'une explosion pouvait coûter tant que tu étais certain de pouvoir filer entre les doigts de la mort. Alors je vous conseille de faire ce que l'autre a dit...
Répondre à la question ?
Mais bien entendu...

Tu t'étais rué sur le gamin en face de toi, tu avais attrapé son col et la chaise avait basculé vers l'arrière, vous emportant dans sa chute. A cheval au-dessus de lui, tu t'étais stoppé net, la main autour de sa gorge ne faisait aucune pression. Tu front suais et ta respiration était haletante.
Tu t'étais laissé emporter, encore. Il faudrait que tu songes à consulter un psychiatre.
Tu ne pouvais pas le tuer. Si tu te concentrais sur l'un, l'autre s'occuperait de toi. Tu finirais perdant. Putain, réfléchis, réfléchis...

« Exploser un hôtel et tuer des innocents juste pour m'atteindre moi ? »

T'aurais aimé lancer un speech de véritable héros, celui qui se soucie de l'existence d'autrui mais...

« Détruisez cet hôtel, et j'en ferais un autre plus grand, plus fort. Vous ne tuerez jamais un Romanov. »

Tu te levais et remettais correctement ton peignoir qui avait dévoilé l'une de tes épaules pendant ton attaque. « Vous jouez à un jeu stupide. Sourire. Parce que peu importe vos choix, vous allez perdre. Regardez-vous. Vous êtes deux gamins avec des explosifs, des masques et aucun charisme. Vous voulez semer la terreur ? »

Tu te mettais à rigoler. « Mais allez-y, montrez-moi ! Tuez, tuez ! »

Tu venais peut-être de jouer une carte risquée, mais c'était le seul moyen.


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Invité
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2016-01-11, 22:14


CHAOS


Musique Δ
Il avait fallut de quelques mots & d'un simple geste pour activer le détonateur. Thorn venait de vous faire la démonstration d'une explosion d'envergure. A travers la vitre tu observais le bâtiment prendre feu & s'effondrer morceau par morceau. N'était-ce pas là un spectacle digne de ce nom ? Tu ne sais pas pour les autres, mais toi ça t'émerveillait.

Boum. Boum. Au rythme des battements de ton cœur l'édifice explosait, en serait-il de même pour cet hôtel ? Qui sait. Ton frère le mettait en garde, contre vous, mais aussi contre ton manque de patience. Dommage qu'il n'ait pas à le découvrir par lui même, tu aurais pu l'effrayer un peu plus.

Tu prends un air calme, presque reposant et lorsque le Romanov se décide de se ruer sur toi, tu ne bronches pas plus que ça. Il avait eu le mérite de te surprendre, ta tête se heurta légèrement contre le dossiers de la chaise, mais ça n'a pas de quoi réellement te sonner. Tu pouvais accorder au moins un certain culot à ce type. Il n'avait pas froid aux yeux, à moins qu'il ne soit plus fous que vous ne pouviez l'être toi & Thorn.

Il te regarde de haut, à moitié sur toi, sa main sur ton cou. Ta respiration se fait tremblante, pas de peur non, mais d’excitation. Tu aimais l’adrénaline procurée par l'inconnu & ce cher Vitaly avait dépassé toutes vos attentes. Qui aurait cru qu'il oserait s'en prendre directement à l'un de vous deux.

Exploser un hôtel et tuer des innocents juste pour m'atteindre moi ? 
Voilà donc les beaux discours d'un homme au dessus de tout. Que cherchait-il ? A confirmer votre motivation, à connaître votre but ? Tout ça ce sont des choses qui échappent à tout ceux qui ne sont pas vous. Vous êtes les seuls à connaître la vérité derrière vos actes.

Détruisez cet hôtel, et j'en ferais un autre plus grand, plus fort. Vous ne tuerez jamais un Romanov.
Tu esquisses un sourire. Il décidait donc de vous combattre ? Très bien, seulement, ce pauvre Romanov est bien loin de savoir ce qu'il affrontait réellement.

Il se lève et se rhabille.

Vous jouez à un jeu stupide.
Il se décide donc de répondre à ta question, mais dommage pour lui, c'était une double mauvaise réponse. De un, la règle n'était pas d'affronter le maître du jeu, mais de se plier à ses exigences. De deux, vous ne jouer pas un jeu stupide, simplement à pauvre jeu de rôle dont il était le principal acteur ce soir. Raté pour Romanov, la sentence se devait de tomber.

Parce que peu importe vos choix, vous allez perdre. Regardez-vous. Vous êtes deux gamins avec des explosifs, des masques et aucun charisme. Vous voulez semer la terreur ? 
Tu fixes le plafond. Ah, il était vraiment blanc. Aussi blanc que vos cheveux décolorés ou la neige. Tu sais pas trop. Épuré, c'était totalement épuré & c'était de cette couleur que vous tentiez de teindre Equilibruim. Difficile de rendre le noir aussi blanc, n'est ce pas ? Ah, il vous prenait pour des gamins, des perdants. Quel idiot.

Tu te relèves d'un bond. Tu fixes à côté du Romanov plongé dans tes pensées. Tu n'dis pas un mot. Tu penches la tête fixant toujours le vide.

Mais allez-y, montrez-moi ! Tuez, tuez ! 

Tu lui fous un punch en pleine face. Ta main droite avait bouger avant même que ton cerveau ait le temps de réagir & ton poing s'écrase alors violemment sur le visage de Vitaly. Tu secoues légèrement ton poignet, tu y avais mit une certaine force s'en t'en rendre compte.

« La ferme. »

Tu changes de visage. Lunatique. Parfois, tu te faisais aussi instable qu'imprudent.

« On n'tue pas un Romanov, en effet. Tu plantes ton regard dans le sien. Non, on le traîne dans la boue, jusqu'à qu'il en perdre toute sa dignité. Jusqu'à qu'il supplice qu'on arrête. »

D'un geste brusque tu balances la chaise contre l'un des miroir de la pièce, le brisant en milles morceau.

« Boum. C'était une mauvaise réponse. Dois-je lui offrir une seconde chance à ton avis, Thorn ? Je doute qu'il le mérite. »


#MEUF EN RETARD SRRY

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Anonymous
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2016-01-15, 02:35
tic tac don't waste your time
no more ▬ Tout s'enchaînait super vite, tout allait et venait dans son petit crâne un peu endolori à force de penser aux actes qu'ils étaient en train d'accomplir ; ou plutôt de "causer". Les jumeaux y avaient longuement pensé ; ils avaient comploté ; ruiné, deux existences qui auraient certes, pu être plus joviale ; mais voilà. Zorn et Thorn, Alex et Alex, avaient choisit. Ils devaient faire quelque chose ; on pourrait les prendre pour des cinglés, mais soyez honnête ; dans leur situation, vous auriez fait pareil, non ? Ils le conçoivent, ils ne sont pas comme tout le monde, ils ne sont clairement pas saints d'esprit, mais si c'est pour être aussi pourri que le reste de cette "société" de merde ; alors aucun problème ; ils se saliraient les mains pour les gens qui pensent tout cas ce qu'eux, revendiquent tout haut. Vitaly avait perdu son calme, avait bondit sur l'autre moitié d'Alex qui n'hésita pas à faire un pas avant de se rétracter. Il savait très bien que Zorn pouvait se défendre, ou même disparaître complètement ; mais le voir de marbre... Thorn se contenta de se masser la nuque, lentement ; il n'allait pas bouger, pas maintenant. Ce n'était pas encore le moment pour lui de faire son show ; de tirer encore une fois, la corde du "ceci n'est pas un spectacle, ceci est la réalité et tu peux arrêter ça si tu le veux" ; mais voilà, ils avaient à faire à quelqu'un qui se fichait du reste du monde ; qui pensait avant tout à son rang et à sa petite renommée... Des choses inutiles en soit quand on est "mort".

Un jeu stupide. Peut-être. C'est vrai qu'ils étaient un peu ridicules de s'en prendre à cet homme ; mais à tout acte qui doit changer le monde, il faut un coup d'essai. Ce n'était pas la première fois que les jumeaux agissaient ainsi ; mais c'était bien la première fois qu'il y avait des revendications. En soit, Vitaly devrait être honoré, sa réputation n'allait pas être entachée comme celles des politiciens et autre grosse pourriture qui était passée entre vos doigts dont l'incapacité à regretter n'était plus à prouver. Il se met à rigoler et un pincement à la gorge vint perturber le second de la fratrie. Ce mec ne réalise pas qu'il n'y a pas matière à plaisanter ? Ce n'est pas le moment et c'est le genre de rire qui agace tellement Alexandre qu'il aurait pu en avoir la nausée. "Tuer" ? Il voulait vraiment les voir commettre un crime ? C'était quelque chose qu'ils s'étaient promis de ne pas faire autrefois ; mais cela ne l'arrêterait plus. Il pourrait, ce serait simple ; de toute façon, ils étaient "techniquement morts" aux yeux du monde ; aux yeux de cette société cruelle et ce système abominable. Un soupir, un long soupir de lassitude qui s'échappe de son masque alors qu'il s'avance vers la fenêtre, admirant le feu qui continue de prendre de l'ampleur... Cette entreprise ne l'avait sans doute pas fait réaliser ; soit. Ils allaient devoir aller plus loin.

Et là, c'est le drame. La main d'Alexandre vient se claquer délibérément le visage... Son frère avait craqué, il n'avait pas résisté et voilà que son poing s'était abattu avec force sur la joue de leur victime. Ce n'est pas ainsi qu'il allait céder. Voilà qu'Alexandre lâche dans un murmure un petit « Crétin » avant de retourner son attention sur ce qu'il se passait dehors, écoutant ce que sa moitié était en train de déblatérer. La situation semblait leur échapper, mais ce n'est pas comme s'ils n'avaient pas prévu que le Russe ne soit pas coopératif. Ils le savaient ; clairement. Nouveau soupir, alors que son frère lui lance une question, dont il connaissait naturellement déjà la réponse. Il n'avait même pas fait attention à la chaise qui avait traversé la pièce pour heurter et briser un miroir... « Boum. C'était une mauvaise réponse. Dois-je lui offrir une seconde chance à ton avis, Thorn ? Je doute qu'il le mérite. » Une seconde chance hein ? Malgré le nombre de chances qu'on lui offrirait, ce mec avait fait son choix. Peut-être qu'il faudrait aller plus loin... Il voulait voir un mort ? Effectivement, on pourrait le lui offrir sur un plateau d'argent si ce n'était que ça.

« Laisse tomber la seconde chance, j'en ai assez de ce jeu, ça me fatigue. » Non, c'était faux bien sûr. Il voulait juste voir si ce gars était vraiment prêt à laisser crever quelqu'un devant lui. Approchant du mur, le jeune homme enleva ses gants noirs et les balança sur le sol avant de toucher la surface bétonnée... À ce contact, ce dernier se liquéfia, laissant un trou béant dans le mur. Il montrait sa capacité ouvertement, sans rien en avoir à foutre d'être découvert ainsi. Il aurait pu torturer longuement l'homme d'affaires, mais cela n'aurait pas eu le même impact. Alexandre allait lui offrir sa "victime" tant souhaitée. Son voisin d'étage.. En l'occurrence, une femme, plutôt belle, à la longue chevelure ; un visage d'ange. Quel dommage, vivre un tel traumatisme ; elle pourrait en vouloir à Vitaly pour l'avoir conduite devant la potence... La main du jeune homme vient chercher le bras de la jeune femme ; elle avait vu le mur fondre, elle saurait donc à quoi s'attendre si elle jouait à celle qui voulait fuir... Même si, concrètement, il n'avait pas envie de lui faire du mal. Vivre ici lui donnait un statut particulier, celle d'une personne issue d'un milieu aisé, une personne qu'il est prêt à haïr ; oui, vous étiez cinglés en fait ; complètement fou.

« Quel dommage... » qu'il lâcha en faisant tomber la jeune femme devant leur hôte. « Devoir tuer une aussi belle femme... Cela me désole, n'est-ce pas Zorn ? » La main de Thorn vient se poser sur le torse de la demoiselle à la longue chevelure soyeuse dont il pourrait très bien s'abreuver du parfum ; mais voilà, ils étaient en mission... « Alors ? Vous voulez vraiment que je fasse un jolie trou dans son corps et que j'aille arrêter son coeur moi-même ? Ou vous vous rétractez et vous nous écoutez avec un peu plus d'attention ? » Allait-il continuer de jouer au con ? Tic-tac, l'horloge fait tic tac et le temps passe. Un silence s'installe, un silence pesant et voilà ; tic tac tic tac. Que ce bruit pouvait bien l'agacer.


nous allons très certainement mourir dans un avenir proche ♥
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Anonymous
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2016-01-15, 02:41
ft. Vitaly & les jumeaux
MUSIQUE - Ce fut un peu trop brusque, un peu trop rapide.
Ce qu’il venait de se passer ? Tu l’ignores, tu ne t’attendais pas à ce que ton mur se liquéfie en quelques secondes, surtout pas après que le bâtiment d’en face ait soudainement explosé. Tu ne sais pas ce qui se passe, la seule chose que tu sais, c’est que tu es là ; en chemise sur le sol de la chambre du directeur de l’hôtel, avec la main d’un homme posé sur le dessus de ta poitrine menaçant de te tuer. C’était donc ça, ta mort ? C’est ainsi que tu vas mourir ? Avec un trou dans la poitrine, liquéfiée comme venait de l’être ton mur ? Ah ! Que la vie est drôle !

Il y a encore quelques minutes, tu étais encore aux pays des rêves, blottit dans les bras de Morphée en serrant un oreillée contre toi. Puis il eut soudainement cette explosion qui te fit bondir de ton lit, tu t’étais empressé d’aller tirer les rideaux pour observer ce qu’il se passait en-dehors de l’hôtel ; il n’y avait que des flammes. Des flammes et encore des flammes ; la fumée opaque grimpant doucement vers les étages supérieurs, dévorant tout se trouvant sur son passage. Un acte terroriste ? Une rébellion d’un des gangs pour attirer l’attention de Ragnarök ? Qui sait…

Malheureusement, certaines choses s’étaient brisées dans la chambre d’à côté ; quelque chose de plutôt lourd venait probablement de se fracasser contre un miroir, le son y ressemblait en tout cas, tu avais pu entendre les bouts de verres se brisés contre le sol. Qu’est-ce que Romanov était en train de faire ? Tu avais entendu des personnes parlées, deux voix masculines en plus de celle du directeur, tu ne reconnais pas les deux autres voix mais en tout cas, tu voulais aller voir ce qui se passe. T’écartant alors de la véranda, tu t’apprêtas à te diriger vers la porte d’entrée de cet appartement vêtit de la chemise de ton ex-mari, cependant on en revient à ce que tu ne pensais jamais se produire. Le mur, TON mur se liquéfia aussitôt après cet énorme fracassement.

Figée. Tu aimerais t’en aller mais tes jambes refusent de bouger. Est-ce la peur ? C’est possible, encore une fois tu ne sais pas, tu ne sais pas quelle est cette sensation qui t’entoure. Il y a trop de choses étranges subitement alors que tu viens seulement de te réveiller, trop de choses que tu ne comprends pas ; l’explosion du bâtiment d’à côté, puis ce gros boum dans la chambre de Vitaly et là, ton mur qui se liquéfie étrangement. C’est un rêve, n’est-ce pas ? Tu es en train de rêver et tu vas te réveiller d’une minute à l’autre. Alors pourquoi, pourquoi cet autre homme à la chevelure blanchâtre t’attrape soudainement par le bras, pour ensuite t’emmener dans la pièce d’à côté et te fait tomber en arrière sur le sol ?

Le sol est plutôt douloureux pour un rêve, tu tires une grimace en sentant quelque chose entré sous ta peau à l’une de tes mains, ce n’est définitivement pas un rêve, la douleur est beaucoup trop réelle. Les battements irréguliers de ton cœur commence à martelé ta poitrine BOUM BOUM, tu peux le sentir résonné jusqu’au fond de tes entrailles. Respiration haletante et la tête qui tourne légèrement ; tu ne fais que fixer l’individu aux cheveux clair devant toi qui vient de déposer sa main sur ta cache thoracique. Tu n’oses pas bouger d’un pouce et ton cœur s’accélère encore BOUM BOUM BOUM BOUM, entrant dans une douce symphonie que seule lui & toi pouvez sentir. Si tu savais au moins pourquoi on t’a attrapé soudainement par le bras pour te retrouver au sol la seconde d’après, pourquoi on t’a embarqué dans une histoire dont tu ne comprends pas encore le sens. Si tu ne l’avais pas quitté, rien de tout cela ne se serait passé. Il y a une douce chaleur coulant entre tes doigts, une chaleur pourtant déplaisante puisqu’il s’agit de ton propre sang.  

T’appuyant sur tes coudes, tu tires doucement la tête en arrière et tu le vois lui ; celui qui te loge malgré que tu ne sois pas assez riche pour te payer plusieurs nuits dans ce magnifique hôtel de luxe. Tes pupilles ambrés croisent les siennes dans un silence de plomb, l’air effaré, tu n’arrives pas à retirer tes yeux de lui. Ton corps commence à trembler, tu pourrais probablement agir pour te défendre, mais tu préfères éviter. L’eau serait inutile contre l’acide, tu aimerais tomber, tomber à nouveau dans les bras de Morphée mais c’est impossible, tu es bien réveillée & aucun mot ne s'extirpe de tes lippes.
C’était si paisible.  


BONJOUR. ♥ ne nous déteste pas trop.
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Vitaly Romanov
Vitaly Romanov
Make some trouble, it’s five minutes before chaos Δ Zorn & Thorn & Vitaly Tumblr_inline_mkpr8t2nBb1qmt86u
2016-01-15, 22:06
ft. les jumeaux
hellofriendOn n'tue pas un Romanov en effet. Non, on le traîne dans la bout jusqu'à ce qu'il perde toute sa dignité.
Jusqu'à ce qu'il supplice qu'on arrête.

Le coup t'avait fait tourné la tête.
C'était venu sans crier garde. Ce n'était pas douloureux, c'était juste surprenant. Surprenant parce qu'il aurait pu en finir tellement plus vite. Un coup de couteau, une balle entre les deux yeux, t'avais bien des idées en tête pour en finir avec ton existence. Mais un coup de poing, c'était différent.

Le miroir sur ta gauche se brise, c'était bien la première fois que tu voyais ton reflet ainsi, déchiqueté en mille morceaux. Tu demeurais silencieux encore, toujours. Tu n'étais pas un grand bavard quand il ne s'agissait pas de te vanter ou de mettre en avant ton entreprise. Tu analysais la situation tant que tu le pouvais, tu faisais parti de ces quelques opportunistes qui finissaient toujours par arriver au bout du chemin qu'ils souhaitaient dès le départ. Et ton chemin était clair.

La seconde d'après, Edelweiss était entrée en scène à son tour. Devoir tuer une aussi belle femme, cela me désole... Vraiment ? A leur place, ça ne te désolerait pas vraiment. Pour tout avouer, tu étais bien le premier à pouvoir argumenter sur l'artifice de la beauté, tu en étais certainement l'un des piliers.
Pilier d'une société pourrie jusqu'à la moelle.

Tu pouvais entendre le cœur de la jeune femme résonner dans la pièce mais tu ne te focalisais que sur le tien et tes pensées.
Encore une fois, ils avaient réussi à te surprendre mais encore une fois, pas à te blesser. Tes plaies sont trop profondes pour pouvoir être écartelées de la sorte. Ah.

Tu t'étais levé comme un mort vivant. Ton air livide et tes lèvres asséchées. Tu avais fait le tour du lit, remarquant dans ton reflet brisé la couleur rouge qui était apparue sur ta mâchoire. Et comme vous vous en doutiez, tu saisissais le pistolet caché depuis le début de cet épisode.

Bam. Une balle dans l'épaule. Bam. Une autre dans la jambe.
Edelweiss avait été victime de ta folie.

« Au lieu de parler, faites-le.
Vous êtes bien des gamins.
 »

Tu ne souriais même pas.
Ca ne t'amusais pas.
Ca ne te faisait même plus peur.

C'était ennuyant.


make some trouble
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Anonymous
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2016-01-17, 20:28


CHAOS


Musique Δ
Il te semble l'avoir déjà dit, rien ne ce passe comme prévu. Cependant, cette fois, les événements avaient littéralement dégénérés. Ton cerveau avait arrêté de tourner, tu n'réfléchissais plus réellement. Tu n'étais pas du genre à penser aux conséquences. Tu agissais plus avant d'agir & dans l'agitation qui sait si vous aviez encore toi & ton frère un instinct de survit.

Thorn usa de son pouvoir afin de s’accaparer une « victime » parmi tant d'autres . Vitaly voulait du sang, vous vouliez lui faire peur. A vrai dire, vous aviez beau être loin d'être personnes saine d'esprit, vous n'étiez pas pour autant pas des assassins.

Quel dommage...Devoir tuer une aussi belle femme... Cela me désole, n'est-ce pas Zorn ?
Tu hausses les épaules, comme si le sort de cette femme t’importais peu. Si elle vivait ici, c'est qu'elle était de ceux que vous chassiez, non ? Certainement. Tu tournes dans la pièces, tu tournes autour du protagoniste de cette grossière pièce. Pourtant, il décide de vous faire soudainement, un véritable coup de théâtre.

Il saisit un arme dissimulée jusqu’alors portant le coup à la jeune femme. Boum boum. Les coups de feu frappent la jeune femme à la place de ton cœur contre ta poitrine. Tu t'étais figé net. Si vous étiez fous, alors qu'était-ce cet homme, un sociopathe ? Non. Seulement un démon qui commence doucement à se réveiller.

Tu ris aux éclats. Comme si tu avais assisté à une monstrueuse comédie. Tu n'étais certes pas un assassin, mais tu n'as jamais été non plus un enfant de cœur. Si ce n'était pas ton frère qui était visé, tu avais nulle raison de sombrer dans la colère. Cette femme était déjà la victime de cet homme, tout ceux qui vivait dans cet hôtel n'étaient que des proies pour le Romanov, qu'elle le réalise ou non, plus tôt ou plus tard, ce n'était qu'une question de temps. Qu'il lui fasse du mal ou non, ce n'était pas non pas ton problème, nous sommes tous responsable de notre propre malheur.

Tu prends soin d'user de ton pouvoir, posant une main sur l'épaule de la jeune femme, tu la rends inaccessible, la dématérialisant. Tu as presque pitié d'elle, croire en un homme aussi avide c'est se pencher naïvement dans le vide. Tu t'avances alors vers le maître des lieux ; tu uses aussi de ta capacité sur ton propre corps. Qu'il te tire dessus, rien ne t'atteindra. Tu lui fais face, encore. Il est plus grand que toi, mais cette fois, pas de belles paroles. Tu reprends de la matière et lui donne un coup de genoux dans ses parties génitales (jtm). Tu tires sur le col de son peignoir et le rapproche un peu plus de ton visage. Tu viens alors le susurrer à oreille.

«  Tu fais les choses plus mal qu'un gamin, Romanov.  »

Tu l'embrasses alors sur la joue droite d'un air moqueur avant de le relâcher, avant de faire volte face. Tu récupères alors la femelle d'un côté avant de te casser d'ici, ton frère & toi aviez les même plans en tête. Tout était déjà prêt pour votre départ.

«  Nous nous reverrons, Vitaly.  »

Nous te poursuivrons, jusqu'à te faire tomber de ton piedéstale.


#je t'ai dis qu'après la soirée tu voudrais ma MORT

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Anonymous
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2016-01-30, 00:50
boum boum run for your life
the end ▬ Si vous aviez pu imaginer la tournure des événements ? Oui. Vous auriez pu le prévoir ; mais arriver à capter le fait que le gars en face était aussi taré que vous ; non... Non, Alexandre n'avait clairement pas mis ce chiffre dans son équation et voilà que tout le cheminement de son plan venait de partir en fumée. Pendant l'ombre de deux secondes, il a cru que les balles lui étaient destinées, qu'il allait être touché et l'japonais s'était évidemment préparé à cette éventualité. Mais non. Non. C'est elle qui en fait les frais. C'est cette femme qui prend alors qu'elle n'a rien demandé ; mais voilà, c'était elle ou vous ; et dans sa nature d'égoïste, Alexandre préférait que ce soit elle qui y passe. Dans un soupir, l'albinos se masse la nuque avec nonchalance, tentant vainement de se rassurer... L'épine le savait ; il savait très clairement que ce gars n'allait pas se laisser faire, malgré tout ce que les frères allaient pouvoir lui faire subir, il ne ploierait pas. Tant-mieux. La traque continuerait alors ; un jour, les Godspell feront plier le Romanov ; mais pas aujourd'hui. Pour l'heure, pour ce jour, ils allaient seulement marquer cette date ancrée dans sa mémoire. Sa vanité et son arrogance allaient coûter beaucoup aux gens de cette ville ; Alexandre s'en assurerait, tout était en place.

Zorn ris aux éclats, alors que Thorn, sous son masque, ne peut s'empêcher d'afficher une mine déconfite ; mais ça, seul lui pouvait l'savoir. Cette situation était devenue ridicule, il fallait donc pour eux s'en remettre à leur plan initial ; évitez la parlotte inutile à l'avenir, cette entrevue avec le Russe lui avait appris au moins ça... Que parler et menacer ne servait à rien face à des types pareils. Son frère fait son numéro alors qu'Alexandre continue de toiser la femme allongée sur le sol avant qu'un détail ne vienne attirer son attention... Son ventre... Soit elle était grosse, soit elle était... Enceinte ? La morale ne faisait pas parti de son vocabulaire, mais étonnement, ce détail eu don de le clouer sur place pendant quelques secondes. Ce n'était pourtant pas le moment, mais l'incompréhension venait de le prendre au dépourvu face à ce détail imprévu. Les femmes enceintes, ce n'était pas une cible dont l'gars aux cheveux pâles avait l'habitude. Souvenirs éphémères d'une enfance gâcher qui lui revienne en mémoire et qui le font alors bouger dans tous les sens alors que son frère gérait le reste. Il venait de la faire disparaître, encore une fois son pouvoir allait leur servir.

Un coup de genou. Un coup de genoux tellement bien placé qui venait de le sortir de ses songes ; imaginant la douleur, il posa ses mains sur son entre-jambe et lâcha un « Ouuuuh » ; non pas pour provoquer ; mais pour compatir à sa douleur, ou pas. C'était le moment pour lui d'agir, ce n'était pas le moment de péter une durite interne ; son câble, il le péterait plus tard, quand cette histoire sera finie... Mais Alexandre ne se fait point d'illusions, cette histoire ne sera jamais finie, jamais vraiment. Serrant les poings, il appuie sur le bouton qui se trouve dans sa poche, approchant lentement de son frère, c'était l'heure. La fermeture éclair de son masque est ouverte, laissant apparaître seulement ses lèvres ; lèvres qu'il rapprocha en même temps que sa moitié vers la deuxième joue du Russe. « À la prochaine monsieur Romanov. » Qu'il lâcha avant de faire fondre le pistolet qui se trouvait maintenant à sa portée tout en s'éloignant. C'était l'heure de partir, ils n'avaient que très peu de temps pour « évacuer » les lieux. Son frère attrape la jeune femme alors qu'Alexandre chope ses affaires et ses gants en les replaçant rapidement à ses mains avant de passer la porte et de se rappeler un détail. « Ah, d'ailleurs Vitaly... » Pointant l'horloge de son doigt, il lâcha tout de suite après, un sourire dissimulé de nouveau derrière son masque, s'étirant, encore et encore. « Vous avez exactement dix minutes et vingt-cinq secondes pour faire évacuer votre hôtel. À la revoyure ! » Et dans un salut, il court, il court vite après sa moitié et la femme qu'ils avaient décidé d'emmener avec eux. Boum boum, dans moins de dix minutes, ça allait faire Boum Boum. Qu'il avait hâte !


there is no time to joke about, run
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Vitaly Romanov
Vitaly Romanov
Make some trouble, it’s five minutes before chaos Δ Zorn & Thorn & Vitaly Tumblr_inline_mkpr8t2nBb1qmt86u
2016-02-10, 00:23
ft. les jumeaux
ominous  – As-tu fait le bon choix ? Quelque part, tu en es certain. Tu ne fais jamais des mauvais choix, alors pourquoi l'aurais-tu fait ce soir ? L'amour, l'attachement, ne sont que des entraves à tes grands projets. S'il faut tirer, alors tu tireras. Tu es un fauve lâché en pleine nature, la loi du plus fort règne et tu comptes bien être au sommet de la chaîne alimentaire – peu importe les sacrifices que cela puisse impliquer. Tu te prends des nouveaux coups et des baisers sur les joues. En temps normal, tu aurais bondi de rage.À la place, tu les écoutes attentivement. Tu les écoutes attentivement et tu retiens chacun de leurs mots ; ils seront le fruit de la vengeance que tu prépares. Tu n'as aucunement l'intention d'en rester là, on ne met pas un Romanov à terre si facilement.
Ils s'éloignent de ton champ de vision, disparaissent. Dix minutes, vingt-cinq secondes. Tu en prends peut-être deux pour réfléchir, assis par terre, la douleur grondante au niveau de ton entrejambe. Puis enfin, c'est la rage qui hurle en toi. Ton regard est enflammée et tu as des coups de chaleur. Des coups de rage.
Tu attrapes les premiers vêtements qui te tombent sous la main et fait appel au service de l'hôtel, et d'un calme déconcertant – à contrario de ton visage en sueur – tu annonces : « Faites évacuer l'hôtel, on a eu une visite de terroristes. Vous avez cinq minutes. »

Tu prends la sortie la plus rapide et derrière toi, les clients s'agitent. Peu à peu la foule s'empresse dans les ascenseurs, les escaliers. Toi, tu les regardes depuis la rue. Tu regardes ta création, la source de ton existence, pour la dernière fois. Ton œuvre d'art, ton leitmotiv.

Puis enfin, l'explosion.
Un feux d'artifice rouge. Le bruit sourd engouffre Equilibrium et tu poses tes mains sur le dessus de ton crâne. La déception, la colère, l'excitation, tout s'y mélange.

Edelweiss est partie avec eux mais ce n'est pas grave, tu la récupéreras.
Ton hôtel n'est que poussière mais ce n'est pas grave, tu le reconstruiras.
Ton honneur est souillé mais ce n'est pas grave.

Tu te vengeras.


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