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we're in trouble Δ MORGAN

Anonymous
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2016-02-15, 17:36
I don't want to be the one The battles always choose 'Cause inside I realize That I'm the one confused
WICKED GAMES • Un bordel monstre à lieu ; quelque chose que lui comme vous ne pouvez contrôler, ne pouvez arrêter. Equilibrium est devenu un champ de bataille et malheureusement, plus rien ne semble pouvoir arrêter l'engrenage mis en place.

Qu'est-ce que c'est qu'cette merde ? Qu'il marmonne pour lui-même devant la porte de son appartement. La poignée... Trop méfiant, trop prévoyant...

Il ne dit plus rien. Il reste devant sa porte comme une statue, droit comme un i. Quelqu'un est chez lui, y'a quelqu'un dans son appartement, l'Irlandais le sait, il le sent. Instinct de bête ? Non. Juste sa paranoïa qui alerte ses sens. Quelqu'un est là, autant entré et mettre au sol l'énergumène qu'à osé braver son antre... Qui osait pénétrer comme ça chez les gens ? Un soupir, long, las ; qui sonne le glas alors que sa main vint se poser de nouveau sur la poignée de porte. Faut qu'il entre, il ne faut pas qu'il ait peur ; après tout, cet endroit, c'est chez lui. Alors ne flippe pas et entre Alekseï.

Le bordel, cet endroit n'avait pas été rangé depuis des lustres, on voit bien que sa présence n'avait pas été aperçue dans cet appart' depuis un sacré bout d'temps. Les vitres ont été réparées cependant, c'est déjà une bonne chose. Dans un pas lent et sans un bruit, il avance ; ses oreilles perçoivent comme un bruit, quelque chose qui tombe sur le sol, quelqu'un qui semble rouspéter... On le cambriole et en plus, la personne s'plaint de pas trouver ce qu'elle cherche ? C'est une blague ? Une faille dans le processus ? Son cœur rate un battement ; ne pas perdre son calme, rester humble... Sa maison lui avait manqué, autant profiter d'être chez lui ; ne pas changer ses habitudes.

Alekseï jette sa veste sur le lit, enlève ses godasses trempées par la pluie qui tombait à torrents dehors avant de se diriger vers la salle de bains afin d'attraper une serviette et d'se sécher sa carcasse rongée par la fatigue. Son bureau, c'était de là que le bruit provenait ; c'est une bière à la main fraîchement achetée, que l'Irlandais s'avança vers son lieu de travail numéro deux, ouvrant la porte dans un fracas ; lâchant alors sur son ton cassant habituel.

J'peux vous aider ? La bière est ouverte, ce bruit, cette sonorité ; cette mousse qui monte, qui monte ; la perfection. J'sais pas si vous êtes au courant, mais vous n'êtes pas chez vous ici. Ouais, ça, j'crois que l'gentil garçon en face l'avait carrément deviné. Donc si vous voulez pas que vos jolies petites fesses vire de là de façon sale, j'vous conseil de vous éloignez de cet ordinateur.

Une gorgée, puis deux, puis trois et c'est la moitié d'la canette qui part s'loger dans son estomac affamé. Depuis combien de temps n'avait-il pas bu ? Longtemps, beaucoup trop longtemps ; mais la convalescence l'obligeait à faire attention à son alimentation... Et l'alcool n'en faisait pas partie. Une cigarette se loge entre ses lèvres craquelées et l'Irlandais scrute son cambrioleur de la tête au pied après l'avoir allumé. Ce visage... Cette posture.

Mais... J'te connais toi, non ? Question conne, il s'attendait déjà à la réponse conne dans quelques minutes... Autant ne pas lui laisser l'temps d'en placer une. J'suis certain d'avoir déjà vu ta gueule...

Alekseï s'avance vers son bureau, y dépose la bière, jette sa cendre sur le sol avant de s'laisser tomber sur sa chaise ; son regard ne quittant toujours pas son interlocuteur. Il était prêt à l'foutre au sol s'il ne manifestait pas une quelconque réaction à sa présence. C'est lui le maître des lieux, il est chez lui et l'Irlandais n'accepte clairement pas qu'on fouille dans ses affaires.



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Morgan Davicchi
Morgan Davicchi
bbbbbbbbbb
2016-02-19, 02:48


ft. alekeisisei - 818 mots
J’aurais pu forcer la porte, démonter la poignée ou exploser une fenêtre pour me faire un chemin dans cet appartement inconnu. Mais les premières fois se doivent d’être propres et pour mes débuts dans le cambriolage, j’avais voulu soigner mon propre accueil chez cet individu et m’étais fait un double de ses clés, parce que voler c’est mal. M’introduire chez un quelqu’un sans y être invité c’est mal aussi, mais il y a bien des raisons qui m’ont poussé à un choix si drastique.

Il y avait eu cette pluie qui avait molesté mon crâne et fait monté la haine à mon cerveau humide à ma sortie de mes courses hebdomadaires. J’avais fait l’effort de sortir de mes dossiers puants et moisis pour me nourrir d’autre chose que de soupe à l’oignon parce que Diantre Morgan Lave Toi La Bouche. Et la pluie. M’avait frappé. Frustré et haineux j’étais partit pour flinguer des esprits et bouffer les pensées des gens, les persuader qu’ils sont hantés et leur réciter des scripts de films de maisons closes. J’avais tout planifié et ciblé mes victimes, mais j’étais passé par cette rue.

Cette rue qui m’appelait depuis un certain temps pour faire mon devoir. Un sabotage était en cours dans la ville et l’ensemble de Valhalla avait été engagé pour investir, ça a presque rien à voir ensemble mais ça se lie. Plus que jamais je multipliais les fichiers et les missions, mes valkyries s’épuisaient à ne jamais rester sur place, j’étais nerveux plus que tout. Susceptible. Vulnérable. Plus que jamais. L’odin qui fuitait autant qu’un égouttoir et passait dans la foule comme une ombre fugace venait de s’ouvrir à jour, involontairement.

Des détails qui raclent dans ma gorge et me portent des migraines, j’ai du mal à penser à cette violation de mon profil personnel sans avoir envie de flamber une maison, moi aussi. J’étais donc passé par l’habitation du coupable, parce que ça avait été un jeu d’enfant que de retrouver ce connard mais il semblerait moins facile de reprendre les informations volées. J’avais ouvert la porte, délicatement, l’avait refermé, rangé mes chaussures et posé mes courses sur une table nearby.

Première cible, le bureau. Je m’y étais installé comme à mon office. Les gambettes croisées sur la table, le dos tordu comme à ma sale habitude qui me valera bien l’état de chips de mes os plus tard. Une canette de bière ouverte plus tard, j’étais en voyage de noce dans les dossiers de ce chef de gang, les mots de passes pas assez aiguisés à mon gout. Tout était presque trop facile jusque maintenant. Je sirote dans la canette, apprécie le confort de son siège et songe à lui emprunter pour quelques années, à ce Von Jaeger.

Autant j’avais accepté de ne pas m’introduire dans la vie privée de mon employeur, autant s’il veut jouer à qui est le plus connard, je suis de la partie.

Le gaz glisse dans ma gorge, me laisse échapper le plus beau rot de mon existence et la canette glisse à son tour de ma main. Je la regarde gésir au sol, fraiche et mousseuse, gâchée. Une poignée d’injures plus tard et sans l’effort de m’être baisser pour ramasser ou même nettoyer le meurtre, je retourne m’enjailler à supprimer des trucs, en retenir et en envoyer par message à mes valkyries.

Puis il y’a du bruit, la porte de la pièce ouverte et le son si familier de la mousse de la bière qui monte. Si on veut jouer au plus à l’aise, j’ai encore un doute de qui gagne entre le hacker et le cambrioleur du hacker. Le chef de gang et l’odin. Le traitre et le rancunier. « J'sais pas si vous êtes au courant, mais vous n'êtes pas chez vous ici. » La surprise éclate sur mon visage. Tient, j’avais presque oublié m’être introduit dans cet appartement sans aucune autorisation, vraiment.

Je le regarde descendre sa bière avec une once de jalousie dans mes yeux plissés. « Mais... J'te connais toi, non ?  J'suis certain d'avoir déjà vu ta gueule... »

« Ah ? Faudrait me rafraichir la mémoire alors. » La ligne de mon sourire s’élève d’un coin et j’aurais presque envie de rire, mais je n’ai pas besoin d’intuition pour savoir que ça me vaudrait une mâchoire en moins. Quelques clics sur l’ordinateur plus tard, je tourne l’écran vers Aleksei Von Jaeger de son nom trop long trop nul, ma photo d’identité en mosaïque sur son fond d’écran. « Mais c’est peut-être pour ça que tu connais ma gueule. Tu t’es branlé combien de fois sur mes selfies tout nu, juste pour savoir ? Parce que moi ça m’arrive régulièrement. Sur les miennes.

Sur les tiennes aussi pourquoi pas.
» J’empoigne sa canette de bière et y vole quelques gorgées, peut-être la moitié et lance un regard de pitié au cadavre au sol. Rest in peace Ginette.

And I’m trying to find my peace of mind Behind these two white highway lines, When the city goes silent, The ringing in my ears gets violent
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Anonymous
Invité
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2016-02-20, 16:36
I don't want to be the one The battles always choose 'Cause inside I realize That I'm the one confused
NEVERMIND • Une vaste blague ; un truc qu'arrive quand vous vous y attendez le moins et qui vous fous une claque monumentale. Il y avait de quoi être déconcerté pour l'heure ; ouais... Mais lui ne l'était pas. Alekseï ne l'était pas.

Un sourire qui s'affiche sur les lèvres de son interlocuteur et c'est un sourcil qui se lève sur la face de l'Irlandais. Non pas qu'il avait eu l'impression d'avoir dit quelque chose de drôle ; loin de là. On pourrait même dire qu'Alekseï avait tout fait pour être sérieux et menaçant au possible. Alors pourquoi ? Pourquoi c'gars-là se marre ? Effacer ce sourire de sa face de vicelard pourrait être une solution ; mais ce serait là succombé à la facilité... Et ceux qui connaissent le chef de l'Est savent de quoi il est question ; la facilité ? C'est tout ce qu'il déteste.

Il écoute, ce mec lâche un flot d'paroles qui entrent par une oreille et qui sortent directement de l'autre. De sa hauteur, Alekseï le toisait un peu avant de balayer la pièce du regard. Ce mec avait vraiment foutus le dawa chez lui ; mais cela pouvait-il vraiment déranger quelqu'un d'aussi bordélique ? Non. Pourtant, l'Irlandais ne peut s'empêcher d'être un peu irrité. Pour une fois, il aurait aimé rentrer chez lui et trouver un endroit propre et rangé. C'est beau de rêver. Une phrase attire alors de nouveau son attention, le faisant quitter directement ces songes. "Tu t’es branlé combien de fois sur mes selfies tout nu, juste pour savoir ? Parce que moi ça m’arrive régulièrement. Sur les miennes. Sur les tiennes aussi, pourquoi pas." Quoi ? Son visage se décompose dans une expression mélangeant son côté blasé et l'incompréhension. Il aurait pu soupirer, mais le fait que ce gars lui subtilise sa bière sans même être inquiet de ce qu'il pourrait lui arriver voulait tout dire ; ce mec avait apparemment "des couilles" ; malheureusement pour lui, s'il continuait de prendre ses aises dans son antre, il n'en posséderait bientôt plus.

J'me branle pas sur des gosses ; j'suis pas aussi crade. Qu'il lâche en rattrapant sa bière et en la finissant avant de l'écraser pour la balancer contre le mur. Gosse, ce gars n'en était certainement pas un, mais l'apparence, il l'avait néanmoins. Mais effectivement, j'sais pourquoi j'me rappelle de ta gueule maintenant. Qu'Alekseï dit en reportant son attention sur l'ordinateur.

Oui, il se rappelle. Hacker pour le plaisir ; hacker parce qu'il était bourré et sous un mauvais jour ; de mauvaise humeur. Ruiner la réputation de quelqu'un, le réduire à néant comme lui l'avait été ce jour-là. C'est sans doute avec ce genre de penser qu'il avait piraté des données de Morgan ; son prénom lui revient au cerveau ouais. Morgan Davicchi. Que de souvenirs. Il se met à rigoler à cette pensée et aux détails qu'il avait exposés. Il n'y avait certes pas de quoi dire de base, ce qu'il avait fait été sans doute "mal" ; mais pour ce qu'il en avait à foutre...

T'es trop jeune pour t'branler sur mon visage gamin. Provocation qu'il balance avec un sourire avant de s'allumer une nouvelle cigarette, approchant alors de son interlocuteur. Mais si c'est pour ça que t'es venu, t'as du courage. Sourire qui s'élargit de plus en plus, inquiétant... ?

Il n'avait pas eu de contact avec des gens d'puis quelque temps, c'était donc l'occasion d'rattraper le coche, corriger le tir. Ce mec s'était infiltré chez lui sans aucun scrupule, sans doute pour se faire justice lui-même ; ou pour rendre la monnaie de sa pièce au chef de l'Est pour mieux ruiner sa réputation déjà pas si terrible que ça. Amusant, ce mec semblait vraiment amusant dans son genre. Pourtant, il n'y avait pas de quoi rire devant cette situation. Un cambrioleur face à son hacker, belle surprise ; quelle connerie.

En tout cas, ça ne répond pas à ma question, mon gars. Cigarette logée aux coins de ses lèvres, il s'affale sur sa chaise de bureau et tournant alors vers lui. Qu'est-ce que tu fous chez-moi ? Tu cherches des renseignements pour m'faire plonger et gagner ta vengeance ? Sans doute que oui, c'est ce que lui aurait fait en tout cas. Me poser des questions, c'est plus simple pour ça ; parce que contrairement à toi ; moi ; j'ai rien à cacher. Et il était loin de mentir à l'heure actuelle.

Il tourne sur sa chaise et se rappelle alors de la bière attendant sur la table du salon qu'il avait ramené tantôt. Sa carcasse daigne se relever, avec nonchalance l'Irlandais marche, clope au bec, allant chercher deux canettes avant de visser de nouveau son cul sur sa chaise. Dans un geste lent, il en tend une à l'autre énergumène ; pourquoi être courtois avec son cambrioleur ? Aller savoir.

Si tu veux rester dans mon appart' sans avoir de bobos ; faut boire. Pigé gamin?

Alcoolique jusqu'au bout des doigts ; alcoolique jusqu'à la moelle.



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Morgan Davicchi
Morgan Davicchi
bbbbbbbbbb
2016-02-24, 02:22


ft. alekeisisei - 681 mots
Et je joue ma vie encore une fois et c’est beaucoup trop en aussi peu de temps. L’option de dégagé du pays pour retourner en Italie Panzani avait traversé ma boîte de projets bien trop de fois maiiiis mon cœur me dit que la rigolade ne fait que commencer à Equilibrum et que ça serait bête de partir avant la fête. Il doit pas se passer grand-chose en Italie non plus, peut-être qu’ils fêtent le cinquième millénaire de la pizza ou ma maternelle a peut-être réussit à officialisé l’existence des extra-terrestres…

Son esprit est une terrasse ouverte – les cuisses de la dernière fille de joie du coin ça marche aussi – et ses pensées sont les cendres de sa cigarette qui tombent au vent. Il se souvient et chaque de ses émotions de dégoût et qu’est-ce traversent les miennes et si j’avais eu rien que les ongles aiguisés je lui aurais tailladé sa belle gueule. C’est que de violence et de mépris qui s’entremêlent entre quelques regards et de frivoles pensées et ça aurait pas pu se passer autrement.

« Qu'est-ce que tu fous chez-moi ? Tu cherches des renseignements pour m'faire plonger et gagner ta vengeance ? Me poser des questions, c'est plus simple pour ça ; parce que contrairement à toi ; moi ; j'ai rien à cacher. » En plus d’être fébrile à un télépathe, il réfléchit comme un tronc d’arbre et ça me fait hausser les épaules. Il aurait pu me dire ça s’il avait débarqué peut-être deux heures plutôt le moment où j’ai allumé sa machine. Depuis j’ai pu enregistrer quelques une de ses photos classifiées privées dans un disque et achever ma mission à bien. Il pourrait me flinguer à la seconde, j’aurais aucun regret et il aurait aucune fierté. « Oh non non, trop peu pour moi Monsieur Von Jaegar. J'ai pas besoin de vengeance contre un mec qui a des dizaines de primes sur sa belle gueule. Je me contente de gagner de l’argent aux paris. » Un clin d’œil m’échappe.

Je le suis du regard s’envoler vers de nouvelles horizons et je suis un peu déçue en pensant qu’il prend la fuite comme un pokémon à trois points de vie. Mes yeux s’illuminent alors qu’il revient et m’offre une canette identique aux deux précédents. Si cambrioler voulait dire bibine à volonté, j’en ferais ma profession et nique les valkyries. Je l’attrape et l’ouvre moussante, n’en gâchant pas une goutte au bord de mes lèvres et c’est une atmosphère tellement pesante et étrange qu’elle en devient plaisante et on pourrait se tuer que j’en rirais. « On se fait une pyjama party entre filles c’est ça ? Oooh bichon, t’aurais dû me dire, » y’a comme une moue de pucelle qui fronce mon visage dirigé vers celui d’Aleksei. « j’aurais ramené mes chaussons et ma brosse à dents ! »

C’est un sentiment lointain mais je sens la nuit longue et j’entends une horloge inconnue tiquer, qui décompte peut-être jusqu’au premier coup, ou au premier à terre. Un télépathe pété c’est jamais une bonne chose, vous savez. Moi je sais. J’ai expérimenté. J’ai vécu j’ai vaincu et j’ai veni.

Et c’était mauvais, comme une orgie géante d’esprits. Et j’entendais les âmes se parlaient entre elles et je mélangeais deux pensées en même temps pour la glisser dans la tête de quelqu’un d’autre et j’avouais mes désirs sexuels à quiconque me passerait par l’esprit et c’était mauvais.

« Eh Monsieur Le Chef De Gang, je suis pas venue pour écouter la philosophie de ta vie et tes doutes sur l’orientation sexuelle de tes collègues de l’Est donc on va faire un truc, ok ?

Ok. On va faire un action ou vérité et si tu refuses, tout ça
» J’élève la canette face à mon visage et la cogne avec le bout de mon index. « ça finit là-dedans, et boum. » Mon index se range et je dresse le pouce à la place pour designer la machine qui affiche toujours ma tronche en fond d’écran. Menace valable seulement si l’an 3000 n’a toujours pas innové des technologies anti-alcool, évidemment.

Watch your mouth, leave the rest untold. I’m only nice, when I’m under control.
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Anonymous
Invité
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2016-03-01, 22:09
I don't want to be the one The battles always choose 'Cause inside I realize That I'm the one confused
DESTRUCTION • Un jeu. Cela ressemble fortement à un jeu, mais rien qui n'en découle ne semble vraiment amusant. Il y avait de quoi vouloir retourner cet appartement, il y avait de quoi vouloir étrangler la personne en face... Ces deux-là ne désiraient qu'une chose, foutre à terre mentalement celui en face.

Les poings, c'est la solution de facilité. Cogner sur ce mec serait vraiment trop simple, ce n'en serait même pas amusant... La différence de force était bien trop flagrante et malgré les plaies qui étaient loin d'être cicatrisées sur sa carcasse amochée, l'Irlandais savait très bien que le mettre à terre et hors d'état de nuire ne serait qu'aisé. Pourtant, ce n'était pas le scénario qui se fraya un chemin à sa cervelle ; non, loin de là. L'idée de l'écarteler ne lui traversa l'esprit qu'une dizaine de secondes... Joué à un jeu psychologique, cela ferait moins désordre. Alekseï n'avait aucunement envie de dégueulasser son appartement, pas que l'idée de foutre le bordel changerait quoi que ce soit, mais ce n'était pas envisageable. Il se mord la lèvre inférieure au moment où ce dernier ouvrit la bouche.« Oh non non, trop peu pour moi Monsieur Von Jaeger. J'ai pas besoin de vengeance contre un mec qui a des dizaines de primes sur sa belle gueule. Je me contente de gagner de l’argent aux paris. » Je vais te buter... C'est ce qu'Alekseï aurait lâché quatre mois plus tôt ; mais pas aujourd'hui. Maintenant, il la jouait subtile, il esquissa même un sourire moqueur. Gagner de l'argent sur des paris qui incluait sa gueule ? Alors il devait gagner une belle somme s'il pariait sur la survie du chef de l'Est. Mourir ne lui était pas permis, pas aujourd'hui, pas maintenant. Sa dentition relâche sa lèvre inférieure prise auparavant en otage pour reprendre son chemin vers aluminium de la canette, laissant son rafraîchissement calmer ses ardeurs.

Son cambrioleur daigne enfin ouvrir sa bière au lieu de continuer à un jeu dangereux, bien, sage décision. Fallait mieux savoir, quand l'ouvrir et quand la fermer et pour ça, Morgan semblait être un champion. Il semble avoir une bonne descente, bien, ce n'était pas plus mal. Si cela enchantait Alekseï ? Juste un peu. Quelqu'un qui boit la bière ainsi n'était pas quelqu'un qui pouvait lui déplaire ; quoi qu'y a toujours une exception qui confirme la règle comme on dit. « On se fait une pyjama party entre filles c’est ça ? Oooh bichon, t’aurais dû me dire, » Quoi ? Mais pourquoi dès qu'il ouvre sa gueule, c'est pour sortir des conneries ? Il ne sait pas apprécier le silence quand y en a un ? Ce mec était clairement imbuvable, il n'y avait pas à tortiller du cul pour chier droit, ce mec était psyché' au possible. « j’aurais ramené mes chaussons et ma brosse à dents ! » Osef de la brosse à dents, il a envie de dire... Puis cette face de vierge même pas effaroucher qu'il arborait presque fièrement. Ce mec était décidément, pas normal. Son esprit est maintenant perdu dans un flot d'incompréhension, mais ses pensées dégringolent bien vite.« Eh Monsieur Le Chef De Gang, je suis pas venue pour écouter la philosophie de ta vie et tes doutes sur l’orientation sexuelle de tes collègues de l’Est donc on va faire un truc, ok ? Ok. On va faire un action ou vérité et si tu refuses, tout ça, ça finit là-dedans, et boum. » 

Arrêt sur image. Il pointe SON ordinateur la ? Il oserait faire quelque chose contre lui de son PROPRE ordinateur ? Mais c'est qu'il devait déjà être un peu éméché pour dire de telles conneries. Était-il un tant soit peu intelligent ? Il croyait vraiment qu'Alekseï flipperait pour si peu ? Des informations, ça s'efface... Surtout quand on a l'habitude d’effacer des choses des registres. Ne rien dire, le laisser parler. Si cela pouvait le calmer, autant jouer le jeu... Cependant, quelque chose le chiffonne. Il n'avait rien dit, rien prononcé, alors pourquoi lâcher « je suis pas venue pour écouter la philosophie de ta vie » ? Mystère et boule de gomme. Ce n'était pas dans les intentions d'Alekseï de toute façon. Une main dans la poche, l'autre sur sa cigarette, le chef de l'Est lâcha dans un soupir.

Un action ou vérité ? Putain, t'as quel âge ? Quinze ans ? Faut grandir un peu gamin. D'ailleurs... Il se relève de son fauteuil, s'approche avec lenteur avant de subtiliser la bière à son acolyte du soir. Je n'crois pas que t'es en âge de boire du coup, pour proposer ce genre de connerie ; bien évidemment, si tu veux jouer, on va jouer... Mais avec mes règles. Les actions ou vérité, c'est bon pour les gosses ; et il avait assez donné avec ce jeu y a quatre mois avec Hannibal. Ne pas reproduire le même schéma. Tu aimes l'alcool et t'as envie de boire comme un grand garçon ? Alors autant jouer à un « je n'ai jamais. » C'est la meilleure façon si tu veux apprendre des choses sur moi. Alors vas-y et fait moi boire. On sait jamais, t'arrivera peut-être à m'ôter des infos d'la bouche. Si tant est qu'il ait les couilles pour accepter.

Le chef de l'Est se laisse de nouveau choir, mais cette fois-ci sur le sol de son bureau, le dos un peu en vrac, cherchant dans le regard de son cambrioleur un semblant de mouvement de pupilles qui pourrait le trahir. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir faire ? Qu'allait-il décider ? C'était là tout l'intérêt de son stratège. Fuir en courant, c'était sans doute la meilleure des solutions ; parce qu'avec un Irlandais qui tiens l'alcool comme s'il carburait au café, le risque de le voir éméché et rampé parterre n'était que très peu probable... Mais dans le cas de Morgan ? La plus grande chance serait justement qu'il revienne à son idée de départ, qu'il veuille dicter les règles comme un enfant capricieux « j'ai dit un action ou vérité et pas autrement. » Mais ce serait choisir la mauvaise route, conduisant à un BAD ENDING monumental.

Alors gamin ? Qu'est-ce que tu comptes faire ? Tu joues ou pas ? J'ai d'quoi faire pour tenir la nuit niveau boisson si tu y tiens tant à ta 'soirée pyjama'. Sourire carnassier, léchage de la lèvre telle une bête sauvage. Il s'allume une nouvelle clope avant de reprendre une gorgée de sa boisson. J'espère juste que tu tiens bien l'alcool, j'n'ai pas envie d'avoir à t'foutre dans ma baignoire. Quoi que l'idée aurait pu être amusante, de nouveaux clichés qui pourraient parcourir les réseaux d'internet s'il venait encore à jouer au con chez lui.

Les choses étaient dites, dans tous les cas, Alekseï serait le gagnant, il n'allait pas le laisser mener la danse, hors de question... C'était contre ces principes, contre sa nature.




ft. morgobitch • color #00cc99 • hrp popopo ♥ les emmerdes commencent
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