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Everything | Morphine

Anonymous
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2016-02-29, 17:16
Everything



ft. Morphine
Cette glandeuse
Un soupir franchi alors la barrière de tes lèvres alors que tu passais une main dans ta tignasse ébène tout en fermant les yeux afin de respirer, enfin, l'air extérieur après une journée beaucoup trop longue à ton goût. Ce n'est pas que l'odeur des pizzas, que tu voyais passer entre tes phalanges toutes la journée, commençait à te faire perdre la tête, mais si, un peu tout de même. Il faut dire, sentir la bonne odeur d'un plat tout juste sortit du four donnait parfois une faim de loup, et malheureusement pour toi, jeune livreur de pizza, tu adorais ça, et tu te battais bien souvent contre tes instincts presque animal pour ne pas la dévorer sur place. Alors, prendre afin de l'air frais te faisait un bien fou. Tu regardes alors derrière toi avant de mettre tes mains dans les poches de ta veste pour ne pas avoir à les supporter, car oui, porter tes propres bras à la fin d'une journée, ce n'était pas une action des plus simples. Puis, après un petit bout de temps, tu décides finalement de rentrer chez toi, après tout tu n'avais plus rien à faire de ta journée de merde.

Tu respires alors un bon coup avant de commencer à marcher, les mains dans les poches. Dans celles-ci tu sens un petit bâtonnet, tu regardes alors la chose, remarquant alors une sucette, goût fraise, un sourire illumina alors ton faciès alors que tu la fourrais maintenant entre tes lippes, en plus de cela, il te restait un snack. Continuant alors ta course, calmement mais sûrement. Puis, finissant enfin devant ton chez toi, tu soupires de soulagement, le snack entre les lèvres alors que d'une main tu grattais ton derrière avec finesse et délicatesse. Portant ta clé à la serrure afin d'ouvrir ton appartement et d'y entrer ensuite. Tu soupires une nouvelle fois, bienheureux que d'être enfin chez toi. Puis, tu vas dans ton salon, y retrouvant cette femme, allongée de son son long sur ton canapé, dans le plus grand des calmes.

« Pourquoi tu glandes sur mon canapé ? »

HRP ; Euuuh, le gif veut rien dire c'est jusque que je le trouvais drôle okeyp. Et tu as vu, j'ai pas mentis. Grattage de cul.


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Anonymous
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2016-03-01, 18:06
Dream, Send me a sign Turn back the clock Give me some time I need to break out And make a new name let's open our eyes to the brand new day
JUST LIKE ME • Il y a son cœur qui balance, qui chavire d'un côté, mais qui penche aussi de l'autre. Elle ne sait plus quoi faire, ne sait plus si elle doit fuir ou non. Alors elle attend, elle attend que quelque chose fasse pencher sa décision.

Prise de panique, prise de vertige, Morphine ne sait plus vraiment où elle se trouve. L'angoisse lui ronge de nouveau les entrailles, la peur lui déchiquette le ventre, l'estomac se retrouve retourné et elle doit évacuer ça d'une façon ou d'une autre. Encore ce rêve, toujours ce rêve, celui d'une réalité lointaine qui la prend au piège. Moonstruck, c'est ce qu'elle était ; envoyée du futur pour corriger le passé... Sauver le monde d'où elle vient ? Non. Ce n'est pas dans ces cordes, rien n'est bon là-bas, rien n'est à sauver, tout est à vomir. Il est tard, la nuit est tombée ; mais elle s'en fiche, il lui faut partir d'ici.

Fumée déambulant dans les rues d'Equilibrium, les sirènes des pompiers retentissent encore, inlassablement. L'enfer avait un visage, l'enfer tombait sur les gangs. Son appartement avait pris feu, même ici, quelque chose désirait sa mort. Elle a besoin de lui, elle a besoin d'être rassurée ; alors c'est chez lui qu'elle décide de s'infiltrer, lui qui est encore au travail. Morphine à besoin de faire une Overdose. Elle doit continuer d'attiser une dépendance, c'est vital. La sonnette retentit, mais aucun mouvement, aucun bruit. Il n'est pas là, comme la demoiselle l'avait prédit. Son corps s'évapore sans aucune hésitation, virevolte entre la serrure et elle reprend forme à l'intérieur, allume une lampe de chevet avant de s'étaler sur le canapé froid de celui qu'elle n'arrivait plus à qualifier. Un ami ? C'était différent, Morphine ne sait pas, elle ne sait plus... Et la torpeur la rattrape de nouveau, ici, elle se sentait rassurée, car son odeur vagabondait partout dans cette pièce.

Un bruit, celui de clé qui entre dans une serrure. Les yeux de la jeune femme se rouvrent et sa carcasse se redresse difficilement, elle était bien blottit dans le canapé ; mais ce n'était pas une façon de l’accueillir chez lui... Morphine est entrée par effraction... Il ne va sans doute pas apprécié.

Un grattage de fesses plus tard, leurs yeux se croisent et elle ne peut s'empêcher de rire un peu à cette vision. Mais la voix d'Overdose s'élève et son rire s'estompe.« Pourquoi tu glandes sur mon canapé ? » Sonorité étrange que Morphine n'arrive pas à définir. Il est heureux de la voir ou non ? Il lui fait un reproche ? Son regard tombe désormais sur le sol, il n'y avait qu'avec lui qu'elle ne savait pas quoi pensé, il n'y avait que lui pour la plonger dans une telle incompréhension... Lui et un autre énergumène, ils avaient ce point commun là et c'était vraiment déroutant. La jeune femme se redresse et se dirige vers la fenêtre, allumant une cigarette avec nonchalance, regardant dehors, elle lâcha alors avec un ton un peu blasé.

Je fume cette cigarette et je m'en vais si ma présence sur ton canapé te dérange. Mais elle n'a pas envie de partir, elle a envie de rester et d'écouter cet homme lui raconter sa journée avec son sourire habituel suspendu sur les lèvres. Alors pourquoi ne pas le dire, tout simplement ? Trop de fierté. Je ne me sentais pas bien, alors je voulais te voir, c'est tout. Il lui arrivait parfois d'être franche ; mais un peu trop cassante. Et je ne sais pas si tu es au courant, mais quelqu'un a fait cramer mon appartement. Morphine avait déjà trouvée une colocataire à temps plein le temps qu'elle retrouve quelque chose ; elle savait très bien que passer trop de temps avec Overdose était une "mauvaise idée"... En quoi d'ailleurs ? Désolé d'être entrée par effraction, je vais aller voir Nicotine.

Veste remise sur ses épaules, elle se prépare à partir... Même si elle n'en a aucune envie. Arrivée à ses côtés, la jeune femme lève son regard vers le sien, puis se sont ses lèvres qui viennent se poser sur sa joue.

Je ne t'ai pas dit "bonjour" après tout. Tu ferais bien de te reposer, tu as des cernes.

Et les mains de Morphine viennent souligner ses yeux pour accentuer ses paroles, il travaillait trop, cela se voyait clairement sur sa face ravagée par le manque de sommeil. Livreur de pizza, ce n'était pas de tout repos non. Loin de là. Sa cigarette est écrasée dans un cendrier posé prêt de l'entrée ; sa veste est fermée, prête à partir ; mais surtout prête à rester s'il en énonçait l'envie.




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2016-03-01, 22:56
Everything



ft. Morphine
Cette glandeuse
L'air chaud caressait doucereusement ton épiderme laiteux alors que tu ouvrais la porte de ton appartement. Un soupir de bien-être s'échappa de tes lippes tandis que tu entrais avec grâce, ta main grattant divinement bien tes fesses. Puis, tu remarquas cette fille, qui était si importante et déstabilisante à tes yeux, elle était la seule qui pouvait se risquer à te toucher, toi. Tu flippais, tu avais peur des femmes sans même en savoir la cause réelle, elles étaient simplement effrayantes à tes yeux. Piètre songe que pour un homme tel que toi, tu étais bien minable parfois, Overdose. Mais pourtant, quant elle était là, tout semblait si différent pour toi, comme une angoisse passée, litanie oubliée par des souvenirs inexistants d'un homme sans sens. Ton regard se portait alors sur elle, seulement sur elle, qui venait de se lever afin de fumer à la fenêtre, ses sentences te faisant regretter ton entrée. « Je fume cette cigarette et je m'en vais si ma présence sur ton canapé te dérange. » Seigneur, non. Elle ne te dérangeait pas, bien au contraire, sa présence t’apaisait sans que tu ne puisse en savoir la cause, c'était juste une véracité trop dure à avouer. « Je ne me sentais pas bien, alors je voulais te voir, c'est tout. » Un sourire se dessina alors sur ton faciès d'albâtre, relevant légèrement tes joues, tes yeux se plissant eux aussi un petit peu. Tu aimais sa franchise. « Et je ne sais pas si tu es au courant, mais quelqu'un a fait cramer mon appartement. » Non, tu ne le savais pas encore, tu voulais lui dire de rester ici, que si elle en avait besoin, tu serais toujours la afin de la soutenir, elle était ta salvatrice. « Désolé d'être entrée par effraction, je vais aller voir Nicotine. » Tes yeux se baissaient, tu désirerais de la retenir, la garder prisonnière ici. Tu n'avais absolument pas envie qu'elle aille voir ton ami, tu avais envie de lui parler un peu. Encore et encore.

Pourtant, elle se déplaçait afin d'enfiler sa veste, tu ne prononçais aucune sentence, tu la regardais juste faire sans un geste, sans une parole. Elle s'approchait de toi, te regardant dans les yeux avant de déposer ses deux croissants de chair sur la peau laiteuse de ta joue, tu voudrais qu'elle reste là. « Je ne t'ai pas dit "bonjour" après tout. Tu ferais bien de te reposer, tu as des cernes. » Tu niais alors, secouant ton visage de droite à gauche. Morphine se dirigeait alors vers cette porte que tu avais ouverte peu de temps avant. Un soupir t'échappa alors que tu te retournais afin de prendre son fin poignet entre tes phalanges, l'écartant ainsi de cette foutue porte.

« Reste, je ne suis pas fatigué. » Tu la regardais alors, un petit sourire s'affichant sur ta face. « J'aime quand tu es là, alors reste autant que tu veux. Ça ne me dérange pas. » Ta main resserrait un peur plus son poignet alors que tu voulais clairement la faire rester chez toi. Au moins quelques minutes. « J'avais aussi envie de te voir, Morphine. » Tes sentences étaient douces, claires. Malgré ce trouble qu'elle te causait, tu avais besoin d'elle. Sans arrêt. « Au moins quelques minutes, reste. » Tu la tirais alors légèrement l'emportant à nouveau dans le salon, ce fut à ce moment là, que tu lâchas son bras, presque à contre cœur. « D'accord ? J'aime bien te voir sur mon canapé en rentrant du travail, je me dis que la journée, n'est pas si mauvaise. » Un rire délicat s'éleva alors dans la pièce, tu riais légèrement, heureux de la voir.

HRP ; Vouuui. ♥ Moi aussi, tu le sais ?


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2016-03-02, 02:07
Dream, Send me a sign Turn back the clock Give me some time I need to break out And make a new name let's open our eyes to the brand new day
YOU & ME • Et y'a quelque chose qui s'accélère dans sa poitrine, son organe vital qui pulse contre sa cage thoracique. Son regard est happé par le tiens, par la tendresse de tes gestes, par la chaleur de ta main qui emprisonne son poignet.. Et Morphine aimerait s'évaporer pour te fuir Overdose, mais elle ne peut pas. Parce qu'elle est enchaîné à toi.

Pourquoi était-elle venue ? Morphine ne se le demandait plus. Elle était partagée entre la déception et la rédemption ; déception de voir que sa surprise n'avait pas eu l'effet escompté et la rédemption de ses sentiments qu'elle ne comprenait que trop bien, mais qu'elle préférait rejeter, cacher quelque part derrière un masque bien dresser devant son fasciés abîmé par la vie. Il ne dit rien et la main de la jeune femme est sur la poignet de porte, le regard caché derrière sa frange blanche... Mais voilà. Voilà qu'il vient subtiliser son poignée de sa grande main, logé dans son dos, elle ne peut se résoudre à se retourner. Si elle avait espérer qu'il la retiendrait ? Certainement ; mais jamais elle n'aurait pensé qu'il agirait ainsi. Overdose était ainsi, il voyageait d'une façon d'être à une autre, la plongeant dans l'incompréhension, la rendant si incertaine... Ce n'était pas juste. Et sa voix se colle au creux de son oreille comme une jolie mélodie dont elle aurait voulue s'abreuver encore longtemps. « Reste, je ne suis pas fatigué. » Honteux mensonge. Ces yeux parlaient pour lui, il était fatigué. Elle aussi travaillait d'arrache pied, elle ne pouvait donc que le comprendre. Dormir, il devait dormir. Sa poigne se resserre sur elle et son cœur rate de nouveau un battement alors que la jeune femme daigne se retourner pour affronter son regard et son sourire... « J'aime quand tu es là, alors reste autant que tu veux. Ça ne me dérange pas. » Son cœur continue de battre à un rythme inhumain, ce n'était pas normal... Depuis combien de temps n'a-t-elle pas ressentit ça ? Beaucoup trop longtemps et c'était un sentiment qu'elle avait fuit, qu'elle avait décidée de fuir. Son bras est prisonnier de sa main, la jeune femme ne désire même plus s'échapper, elle est captivée, elle désire en entendre encore davantage.

« J'avais aussi envie de te voir, Morphine. » En fait non, ne plus rien entendre, cette voix suave, si douce, si honnête... Morphine n'est pas habituée à tout ça, sa gorge est sèche ; sa respiration un peu saccadé, elle a l'impression d'être un papier de chiffon qu'il pouvait froisser quand il le désirait... C'était si étrange... A la fois si déconcertant, mais pas forcément désagréable. « Au moins quelques minutes, reste. » Non, pas quelques minutes. Si Morphine reste, elle ne pourra pas s'évaporer quand elle le souhaite, elle devra rester longtemps, plus longtemps ; parce que c'est ce que son cœur lui dicte. Cette emprise qu'il avait sur elle n'avait pas de nom... C'est elle qui attise la dépendance et non pas l'inverse... Si ça continuait ainsi, elle allait faire une overdose, il n'a pas le droit de la rendre dépendante de lui à ce point. Sa carcasse ravagée par l'angoisse se retrouver de nouveau dans le salon, juste à côté de lui et voilà qu'il relâche son étreinte sur elle... Non, elle veut garder un contact, rattraper sa main... Mais elle ne le fait pas, Morphine ne peut s'y résoudre... « D'accord ? J'aime bien te voir sur mon canapé en rentrant du travail, je me dis que la journée, n'est pas si mauvaise. » Cette innocence, cette franchise... Pourquoi se sent elle fondre à ce point ? Pourquoi ce garçon arrive-t-il à l'émouvoir autant ? Son cœur se serre, les mots ne sortent pas, elle se contente de hocher la tête et de cacher sa face rougit par toutes ces sentences qu'il venait d'énumérer avec lenteur et douceur. Overdose était ainsi, il arrivait toujours à la perturber, à la plonger dans un torrent d'émotions qu'elle semblait avoir oubliée.

Je me dis la même chose que toi... Qu'elle murmure en rattrapant la main du jeune homme des siennes. Posant sa tête sur ce grand dos, elle attend avant de poursuivre, elle attend d'être certaine que ce soit une bonne idée...

Normalement, elle aurait dû jouer avec sa pièce pour savoir si c'était une chose à dire ou à faire, mais Morphine se devait d'être honnête, parce que c'est ce qu'elle est... Ne pas lui mentir, pas à lui et surtout pas à elle-même.

J'aime venir te voir et t'accueillir ; c'est vital pour moi de savoir que tu vas bien.

Parce qu'elle est celle qui la retrouvée sur le bitume ce jour là, parce qu'elle ne veut plus jamais revoir quelque chose d'aussi triste, surtout pas à lui. Morphine ne sait pas ce qu'il lui est arrivé, mais elle se rappelle du sang, des larmes qu'elle à hurler pour que quelqu'un lui vienne en aide. Elle ne le connaissait pas, mais sa nature empathique avait prit le dessus sur sa raison, sur son corps et sur son cœur.

Je ne veux pas partir Overdose...  Autant dire la vérité, non, elle ne veut pas partir. Elle désire encore entendre sa voix, quitte à l'entendre jusqu'à ce qu'elle s'endorme sur son canapé, elle voulait entendre ces histoires qui la faisait toujours sourire ; aujourd'hui Morphine ne voulait pas s'endormir avec la peur au ventre. S'imprégner de lui, jusqu'au bout de ses doigts, égoïste qu'elle était.

Je veux rester avec toi. Alors ne me laisse pas partir, ce sont les mots qu'elle aurait dû rajouter, mais la demoiselle à la chevelure blanche enferma sa voix aussitôt.

Ne pas continuer, son cœur le lui avait interdit, avait fait éteindre sa voix immédiatement. Son front quitte le dos du jeune homme, mais sa main est toujours dans la sienne et elle le guide vers le canapé dans lequel elle l’assoit avant de s'y poser à son tour. Ses mains attrape sa nuque, puis passe à travers sa chevelure avant de le forcer à s'allonger, sa tête posée sur ses jambes. Elle entremêlent ses doigts avec ces mèches ébènes et elle ne peut s'en empêcher ; cela avait le don de l’apaiser.

Comment s'est passé ta journée Overdose ? Tu as vraiment l'air épuisé. Qu'elle lâche avec douceur, tout comme les caresses qu'elle osait passer sur son visage.




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2016-03-02, 03:13
Everything



ft. Morphine
Cette glandeuse
La raison avait quitté ton être, se consumant tel une gangrène alors que tu la voyais partir. Ton cœur rata un battement, une douce supplication de sa part te poussant alors à réagir au plus vite, ne voulant en aucun cas le départ de Morphine, de cette fille qui t'emportait sans le voir dans une doucereuse déchéance. Tes songes n'avaient alors plus de logique, seule elle comptait réellement, ton cœur te dictait tant de chose que tu n'arrivais pas encore à décrypter. Une délicate litanie emportait ton organe vitale dans des montagnes russes tant les émotions que tu ressentais alors pouvaient être puissant. Et ce qui te perturbait le plus était qu'ils étaient tous pour cette même personne, pour cette même fille. Ils n'étaient seulement qu'à Morphine. Elle était devenue à elle seule ta drogue, ton remède à la vie. Il n'éprouvait aucune peur en sa présence. Si, une angoisse telle qu'il n'osait y penser, il ne voulait pas penser qu'un jour peut-être, il la perdrait. Tout comme sa mémoire maintenant perdu dans les abîmes d'un mystère qu'il n'arrivait pas à résoudre, comme si il manquait quelque chose à l'équation de la vérité.

Elle était devenue ton fil, celui qui te maintenait en vie, jour après jour. « Je me dis la même chose que toi... » Furent ces doucereuses sentences qui te firent sourire encore un peu plus, plissant alors tes lippes en une magnifique courbe. Cette main que tu avais lâché sans même le désirer rejoint à nouveau la tienne, comme une supplication tendre que tu ne pouvais repousser. Tu ne le voulais pas de toute façon, elle t'était trop précieuse pour risquer de la briser. Puis, un poids se créé dans ton dos, sa tête se posant dessus, comme pour chercher du secours, te rechercher toi. « J'aime venir te voir et t'accueillir ; c'est vital pour moi de savoir que tu vas bien. » Ton cœur part alors en vrille, courant comme un fou. Il battait si fort que tu le sentirais presque exploser dans ta poitrine. Elle te faisait réellement ressentir tant de chose, tu en devenais chaque fois plus accro, tu devenais un véritable drogué, un homme constamment en manque d'elle. Mais pourtant, tu semblais perdu, au fond de toi, tu ne te comprenais plus. Tout semblait différent au côté de cette femme. « Je ne veux pas partir Overdose... Je veux rester avec toi. » Cette phrase à le don de te rendre encore plus dingue. Tu t'avances alors d'un pas, te décollant d'elle avant de lâcher sa main, te retournant pour lui faire fasse.

« Alors, ne part pas, reste et viens me voir encore plus souvent, accueille moi le soir après mon travail autant de fois que tu le voudras, j'en serais heureux. Toujours. » Tu lui offres alors un rictus des plus doux, ta main reprenant celle de Morphine, la refaisant prisonnière. Tes phalanges s’entremêlant alors aux siennes dans une caresse des plus délicates, des plus sincères. Ton cerveau semble ne plus avoir une once de raison alors que tu la prends alors dans tes bras, l'emportant dans une étreinte doucereuse. Ton visage se cachant alors près de son coup, tu avais besoin de faire ça, cela te semblait si essentiel, si démesuré. Si insensé. Pourtant, tout avait était naturel. Comme un devoir des plus solennels. « Alors, reste avec moi. J'aime t'avoir à mes côtés Morphine. J'ai besoin de toi avec moi. » Puis, tu te laissas guider par elle. Celle-ci te forçant presque à t'allonger sur ses cuisses son ton piètre sofa. Elle te posa une question qui te fit sourire, elle était si soucieuse de ta santé. Si tendre avec toi dans ce genre de moment.

« Elle était fatigante. Mais, je trouve que c'est peu cher payé pour te retrouver à glander sur mon canapé. » Tu la regardes alors droit dans les yeux, comme pour lui dire quelque chose, que toi même tu ne connaissais. « J'étais, et je suis, heureux de te voir maintenant. » Tes sentences s'évadaient de la barrière de tes lippes, elles devenaient presque aussi folles que ses songes, pourtant, elles étaient tellement véritable. Emplies d'une sincérité sans loi, sans nom.
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2016-03-02, 23:55
Dream, Send me a sign Turn back the clock Give me some time I need to break out And make a new name let's open our eyes to the brand new day
DON'T LET ME GO • Vous jouez à un jeu dangereux ; vous vous entraînez mutuellement dans les tréfonds de sentiments complètement éphémères, comme des données erronés. Elle ne veut pas te l'avouer Overdose, mais tu lui fais peur ; tu lui fais peur tellement que tu lui assènes des coups fatals au cœur... Et elle ne sait plus quoi faire Morphine, juste une chose, te dire de ne jamais la laisser partir.

Overdose jouait à un jeu dangereux, il ne s'en rendait peut-être pas compte, mais cette étreinte offerte à la jeune femme était semblable à une porte ouverte, une ouverture qu'elle ne pouvait pas voir passer... Mais pourtant, une part d'elle referma d'emblée cette dernière. Non pas par peur, mais par raison. Elle se devait d'être raisonnable, pour ne pas le détruire, pour ne pas l'enfermer plus dans cette spirale infernale qu'elle était. Morphine succombait, elle succombait, mais faisait tout pour résister. Pas le choix, sa nature lui intimait l'ordre de le bloquer un peu plus dans son antre, de le faire sien ; mais elle savait très bien ce qu'elle risquait si elle agissait ainsi et elle ne voulait pas voir Overdose réduit à néant à cause de ses désirs égoïste... Une fois, elle avait aimé une fois et avait été réduit à néant par cet amour brûlant... Pouvait-elle vraiment ressentir de tels sentiments une nouvelle fois ? Non. La réponse devait être non. Mais voilà, il bousculait tout, ruinait ses plans, il avait débarqué dans sa vie comme un ouragan et maintenant, elle ne pouvait plus se séparer de lui. Si c'était pathétique ? Sans doute que oui, mais c'était ainsi. L'étreinte qu'il lui a offert tantôt aurait dû la briser, la faire pleurer, mais son masque de poupée de glace se contenta d'encaisser cette atteinte à son cœur tourmenté.

Et si cela ne suffisait pas, elle se remémore ses dernières paroles... « Alors, ne part pas, reste et viens me voir encore plus souvent, accueille moi le soir après mon travail autant de fois que tu le voudras, j'en serais heureux. Toujours. »Il serait toujours heureux de la voir ici ? Cela ne le dérangeait vraiment pas ? Comment tu fais Overdose ? Comment fais-tu pour accepter cette nana mystérieuse chez toi sans aucun souci ? Comment fais-tu pour lui faire confiance ? Pour être aussi franc et aussi adorable avec elle ? Le mérite-t-elle ? Morphine ne pense pas, mais elle veut y croire, croire qu'elle serait une personne fréquentable pour toi. La suite des paroles du jeune homme lui revient de nouveau en mémoire alors qu'elle continue de lui caresser le visage, lentement. « Alors, reste avec moi. J'aime t'avoir à mes côtés Morphine. J'ai besoin de toi avec moi. » Mais c'était là une chose qu'il ne fallait pas lui dire... Parce que cette femme attise la dépendance chez les gens ; parce qu'elle-même ne peut pas vivre sans être dépendante de quelque chose... Pourquoi c'est tombé sur lui ? Pourquoi sur toi Overdose ? Pourquoi est-ce que tu la rends aussi barge ? Pourquoi est-elle aussi incertaine avec toi ? Morphine n'en sais rien, tu perturbes tout, tu perturbes son monde...

Dos blottit dans le canapé, elle ne peut détacher son regard du visage du jeune homme, continuant d'entremêler ses doigts dans ces mèches comme il l'avait fait tantôt avec ses doigts pour les siens. « Elle était fatigante. Mais, je trouve que c'est peu cher payé pour te retrouver à glander sur mon canapé. »Elle sourit, elle ne peut réprimer son sourire. Faisait-il attention à ce qu'il disait ? Avait-il peur qu'elle s'échappe de chez lui ? Morphine ne put s'empêcher de se poser ces questions intérieurement ; peut-être parce que c'était la peur qui la rongeait quotidiennement depuis leur rencontre. Il plante ses iris dans ceux de la jeune femme et son monde se retrouve chamboulé par la franchise de ce regard si déroutant. Une pression, une énorme pression, une tension palpable et des mots qui brisent de nouveau le silence. « J'étais, et je suis, heureux de te voir maintenant. » Elle aussi. Elle aussi. Pour l'heure actuelle, elle est heureuse et se sent si bien, son cœur est apaisé, même s'il continue de battre à tout rompre dans sa cage thoracique. Que dire ? Ses lèvres sont pincées, cette franchise avait le don de l'émouvoir, de taper pile là où ça fait mal. Une moue, comme celle d'une adolescente, il la replongeait dans le passé, dans l'innocence perdue qu'elle semble un tant soit peu retrouvée à son contact. Sa main continue son chemin sur son crâne et sur sa douce chevelure avant de laisser s'échapper d'entres ses lèvres.

Ce n'est pas bien ce que tu fais Overdose. Son regard regarde le mur en face, elle sait bien que ces joues sont rouges de gêne, mais elle ne peut plus cacher son visage ; elle devrait pour cela ôter ses mains de sa crinière et c'était tout simplement hors de question. Je ne sais pas comment réagir quand tu dis des choses pareilles...Ce n'est pas du jeu. C'était injuste, il n'avait pas le droit de la plonger autant dans l'incompréhension, il n'avait pas le droit de la malmener de la sorte. Et tu sais très bien que j'aime glander sur ton canapé. Elle aime être ici, avec toi, à regarder la télé et manger de la pizza en rigolant devant une série amusante. Elle adore ces moments passés avec toi, elle ne pourrait jamais les regretter. Je peux te demander quelque chose Overdose... ?

Son regard vient de nouveau chercher celui du jeune homme, ses mains sont posées sur son visage, elle se cambre un peu, posant son front contre le sien, une attente. Elle ne sait pas comment dire ça. Elle ne sait même pas si elle devait demander ce genre de choses. Pourquoi était-elle venue le voir aujourd'hui ? Parce que la crise d'Emily l'avait perturbée ? Parce que passé devant son appartement cramé lui avait rappelé que si elle ne s'était pas absentée, elle aurait disparu d'la surface du globe ? Morphine ne sait pas, elle ne sait pas comment formuler ça et l'attente est aussi insoutenable pour elle quelle ne doit l'être pour Overdose. Ses prunelles se rouvrent, contenir ses émotions ; et elle le regarde, ses yeux entrent en contact avec les siens, ses joues sont toujours un peu rouges, mais peu lui importait pour l'heure... Être franche.

Tu peux faire la même chose que tout à l'heure... ? Il ne devait pas comprendre de quoi elle était en train de lui parler ; peut-être parce qu'Overdose n'avait pas conscience de ce qu'il représentait pour elle, et ce, dont il était capable d'accomplir sur elle. Me prendre dans tes bras. S'il te plaît. Mais Morphine ne lui laisse même pas le temps de dire oui ou non, elle se contente de prendre place à côté de lui sur le canapé et de se blottir avec innocence sur lui, comme le ferait un animal qui cherche du réconfort... Tes bras m'apaisent Overdose. Alors laisse moi rester comme ça, juste un peu, s'il te plaît.

Elle agissait toujours ainsi, que ce soit avec Nicotine ou lui ; mais surtout avec lui. Parce qu'il avait ce don qu'aucun autre n'avait, parce qu'il arrivait toujours à la détendre, à la mettre en confiance. Il a peur des femmes, elle le sait ; mais pas d'elle. Morphine en revanche, ne peut plus faire confiance aux hommes, mais Overdose, c'était différent, elle ne pouvait pas se méfier de lui, c'était impossible. Ne pas se résoudre à être méfiante, hors de question. Il est le seul à qui elle voulait vraiment faire confiance. Quitte à s'en mordre les doigts un jour.

Je n'ai fait que des cauchemars, alors j'ai décidé de venir te voir. Je suis désolée d'être égoïste. Qu'elle lâche tête posée sur son torse. On ne pouvait pas le nier, oui, Morphine était égoïste ; mais elle refusait de se dire qu'elle profitait de la gentillesse d'Overdose. Non. Avec lui, c'était donnant donnant ; elle tentait de s'en convaincre en tout cas.




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