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if i dive deep down // ♥

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Côme Kowalski
Côme Kowalski
2016-01-30, 18:34
Si ce moment pouvait durer une éternité, tu crois que tu ne serais pas contre. Tu éprouves une forme de paix à te trouver à ses côtés, sur ton balcon, à parler sans fards - un luxe que tu ne te permets que rarement, car bien trop dangereux pour toi. Tu aspires à vivre plus de moments ainsi : une présence amicale, une honnêteté libératrice, une forme indicible de compréhension passant entre vous. C'est curieux, car tu n'aurais jamais pensé éprouver un tel besoin jusque là. Tu n'as jamais considéré que l'homme était un animal politique s'épanouissant dans les murs de la cité, ça te paraissait stupide ; tu voyais bien que tu pouvais te débrouiller seul, en prenant les autres pour des moyens, et non pour des fins en soi. Mais tu commences à le comprendre. La compagnie d'Alex a quelque chose d'unique, quelque chose que tu n'as jamais trouvé chez quiconque auparavant : réconfortante, apaisante, et en même temps un peu angoissante, pour une raison totalement absurde.
Mais l'éternité, ça n'existe pas Côme.
Mais l'éternité, ça n'a aucun sens Côme.
Ne peux-tu pas plutôt te réjouir de l'instant présent, du fait qu'il est là, avec toi ? Il ne te rejette pas, quel est donc ce miracle ? Habituellement, ce sont tes demi-mensonges qui attirent les autres à toi (ces vérités fausses qui ne sont jamais vraiment mensongères, mais qui déforment la réalité), ce sont tes sourires étincelants comme l'astre solaire qui les mettent en confiance (parce que la lumière rassure quand l'obscurité inquiète, et qu'ils sont éblouis par ces lèvres plissées qui les détournent de tes yeux froids et vides, alors que la noirceur de ta vêture, de tes cheveux devrait être un indice suffisant), ce sont tes tons doux qui leur donnent envie de te connaître (mais forcés, si forcés car tu n'es pas quelqu'un de doux, tu ne saurais pas l'être, sauf peut-être avec lui), ce sont tes manières éduqués qui forcent leur respect (car un loup qui s'habille bien fascine bien qu'un mouton au lainage souillé). Rien de tout cela n'est tout à fait toi ; cela ne fait qu'enfermer qu'une partie de ton être dans une case, et ignorer tout le reste. La partie immergée de l'iceberg, dit-on. Pourtant, tu sais qu'Alex a pu toucher du doigt cette partie immergée, qu'il a peut-être conscience de son existence. Ce ne sont pas tes demi-mensonges, tes sourires, tes tons et tes manières qui lui ont donné envie de venir chez toi, et ça, tu le sais. Même si tu ignores ce qu'il voit en toi, pourquoi il ne t'a pas encore expédié de sa vie, tu sais au moins qu'il n'est pas aveuglé par ton personnage. C'est pour cela que tu te sens nu face à lui. C'est aussi pour cela que tu t'astreins à l'honnêteté. Tu ne pourras jamais rien lui sortir rien d'autre.
Bien sûr, il te répond avec sa même franchise - et ça ressemble un peu à un évitement, comme s'il n'avait pas envie de te dire tout ; parce que les pensées s'échappent, elles semblent simplement ne plus exister. On dirait qu'Alex vit dans l'instant présent, et tu l'admires pour cela. Toi, tu restes coincé dans un passé que tu idéalises. C'est peut-être aussi ce qu'il y a d'angoissant avec lui. Et même s'il dit que tu as raison, tu ne peux pas empêcher la proposition de s'échapper de ta gorge :
« Est-ce que tu veux rester ce soir ? »
Tu fermes la bouche subitement, un peu gêné d'avoir sorti cela aussi abruptement. Pourtant, c'est logique - mais encore faut-il que l'on suive ton propre fil de pensée. Tu n'as pas sa grandeur d'âme, tu ne vis pas dans la même dimension fantasmagorique ; ton monde à toi est dénué de poésie, mais désespérément binaire, divisé entre oui et non. Toi qui ne cesses d'affirmer que tu fais dans la subtilité, que tu es gris, tu as une façon bien carrée de penser, finalement. Peut-être devrais-tu lui expliquer le pourquoi des choses. Imagine-toi en train de le lui dire.
J'ai peur de n'être que l'une de ces pensées, de m'envoler moi aussi quand tu ne seras plus loin, que tu m'oublies dès lors que tu détourneras le regard.
Je ne veux pas être seul.

Non, vraiment ; y songer simplement t'embarrasse. Ce serait trop, comment dire. Impossible. Ça ne te ressemble pas. Pourtant, il faut que tu dises quelque chose. Sans mentir. Quelque chose qui saura transcrire ce que tu veux dire en t'épargnant la honte de le dire. En soupirant, tu finis par lâcher :
« Je ne sais pas si j'aurai le courage de rester seul ce soir. J'ai l'impression que je ne vais pas arrêter de penser à cette journée, au fait que je me suis peut-être fait mon premier ami aujourd'hui - à vingt-deux ans. C'est si pathétique que je préfère ne pas y penser, mais mes pensées à moi ne volent pas. Elles restent. »
Tu te rends compte que tu n'as pas songé à lui demander son âge ; est-ce qu'il est étonné du tien ? Tu sais qu'on a tendance à t'en donner facilement plus, parce que tu t'habilles comme un adulte, que tu maîtrises aisément ton tempérament, fais attention à tes manières et à ton vocabulaire, et ton air sérieux a tendance à te vieillir. Mais tu es jeune, au fond, si jeune et si innocent - on dirait un gamin, quand on te voit. Sans doute parce que tu l'es encore. Tu le resteras tant que tu refuseras de comprendre que tu as autant besoin des autres qu'eux ont besoin de toi.
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Somnifère
Somnifère
IS IT TOO LATE NOW TO SAY SORRY ?
2016-02-05, 20:35



ft. côme
&
it's a new dawn it's a new day it's a new life // and i'm feeling good
Côme n'est pas doux.
Il n'a pas dans ses traits les rondeurs les traces les cicatrices de ceux qui sourient -sa peau est lisse lisse lisse mais certainement pas douce. Tu ne l'as pas touchée, mais tu le sais -oh, pourtant tu es sûr qu'il fait attention à lui que rien n'est dû au hasard mais oh. Tu crois bien que sa peau serait comme celle d'un crocodile -attrayante pour certain, terrifiante pour d'autres, mais tu ne sais pas, à la fin ; et encore encore tes pensées s'envolent oh ce n'était pas que tu ne voulais rien lui dire, c'était plutôt que tu ne savais pas où commencer. Parfois tu te demandes s'il y a d'autres gens qui pensent comme toi -ceux qui ont ces connexions qui se font au plus vite et qui effacent les autres qui écrasent le reste ; est-ce de ta faute d'aimer ne pas piétiner ? ((oh tu crois que tu es resté sédentaire bien trop longtemps, Somnifère // alors te voilà, nomade d'une ville qui se construit de bouts de pierres))
Et tu ne sais pas quoi répondre, non plus.
Qu'est-ce qu'il faudrait que tu lui dises -tu ne le connais pas, tu n'as sur le bout de la langue que son nom et oh, tu t'attaches bien trop vite mais on te dit toujours que tu n'as pas l'air de faire attention alors on s'en va on s'en va on s'en va dès que les premières flammes s'éteignent. Tu ne veux pas que ça lui arrive -et ah, quelle haute estime de soi, que de penser que tu as réussi a l'enflammer.
Est-ce si mal, Somnifère, de vouloir refuser parce qu'on a peur ?
                                  de toujours tout voir trompeur ?
                                  d'angoisser d'être acteur ?
Il faut se l'avouer, Alex. T'as toujours été un suiveur. Mais qu'est-ce que tu veux lui dire ? ((Que tu as aussi peur de mentir ? Que tout n'est que repentirs ? Qu'il y a des choses que tu as peur de ne pas ressentir ? // trou dans le caoutchouc qu'est devenu ton pouls))
Il parle encore encore encore et que veux-tu dire Alex, quand tu n'es que légèreté quand les choses sérieuses s'effacent en un instant oh pourquoi es-tu encore là ? pourquoi est-ce que tu as tant voulu l'embêter le ligoter le faire suffoquer dans son monde bien rangé ?
((peut-être parce que tu sais que les demi-mensonges sont aussi des demie-vérités))
Au moins tu te rappelles de ce qu'elles veulent dire.
Et tu ne réponds pas -parce que Côme l'a dit. Tu n'apportes que des ennuis. Parce que Côme l'a dit. Il n'y a que des peut-être dans ses lexies.
Je ne sais pas quoi te répondre. Tu sais, je dors pas beaucoup. Je risque de m'échapper par les toits au milieu de la nuit parce que j'angoisse de croiser tes yeux le lendemain matin. Et tu t'appuies sur cette fichue rambarde -tu crois que si elle n'était pas là, tu sauterais avec plaisir. C'est toujours comme ça. La suffisance, c'est facile à mimer, plus dur à assumer. Mais est-ce que tu vois, Côme, qu'il ne dit pas non mais plutôt plus tard plus tard plus tard ; dis-lui s'il te plaît que tu comprends que tu comprends et que tu n'es pas vexé et que l'honnêteté vaut mieux que tout autre sorte de piété, dis-lui que ça ne sera que pour plus tard ou fais-lui au moins comprendre avec un regard que tu le pardonnes pour ces tares pour ces écarts pour ces escapades // fais-lui comprendre que ce n'est pas un départ que tu n'es pas un salopard, Somnifère ; Somnifère Somnifère et ses travers.
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Côme Kowalski
Côme Kowalski
2016-02-06, 18:28
Le simple fait que tu sois capable de continuer de le regarder témoigne de ta volonté de fer.
Tu as bien de la chance d'être le genre d'hommes à ne pas vouloir se laisser dominer par sa propre honte ; sinon, peut-être serais-tu éternellement emporté par la vague. Tu n'as au moins pas cette faiblesse, et tu peux remercier tes parents pour cette éducation impeccable qui t'a appris à mettre de côté tes états d'âme - quitte, peut-être, à te renier, à te perdre, à te faire oublier que tu n'es qu'un humain. On t'a appris à devenir un tableau, dont le seul but avoué est l'apparat : des aplats de couleurs sombres (le clair, le vif, le nuancé, tout cela ne semble guère convenir pour brosser ton portrait sur une toile) se mêlant en spirales, en volutes, en tourbillons ; un jeu d'ombres et de lumières, peut-être un trompe-l'œil également, car la vision n'est jamais la même en fonction de l'endroit où l'on se situe : d'en bas, écrasement ; d'en haut, appréciation ; d'en face, admiration. Mais le tableau n'est pas toujours un simple ornement. L'art, ça sert aussi à faire passer un message. Tout a un sens. Et les amateurs d'art contemporain le savent bien (et les autres, à leurs yeux, sont des idiots de n'apprécier que l'aspect esthétique de l'œuvre). Cette représentation de toi n'est jamais qu'une interprétation, celle que les autres décryptent à travers les indices que tu leur délivres.
Et la honte, dans tout cela ?
Voyons, elle ne saurait avoir sa place dans cet arrangement idéal.
Tu ne sais pas vraiment ce qui, en dehors de ta fierté, te permet de regarder Alex droit dans les yeux. Tu as l'impression de lui avoir lancé une invitation et... Non, ce n'est pas une impression. C'est ce que tu as fait. Sans même t'en rendre compte. Une erreur stratégique de ta part ; c'est ainsi que des empires se défont, parfois. Tu as beau te douter qu'Alex ne réagirait jamais comme toi, qu'il ne cherchera pas à prendre le dessus, à profiter d'une main tendue pour s'emparer de tout le reste, tu as peur, et tu te sens comme un perdant. Tu l'es, très certainement. Tu es cet idiot qui a compris beaucoup trop tôt quelque chose de bien trop essentiel pour ne pas lui accorder pleinement ton attention. Tu l'as déjà compris, Côme. Cette attirance n'est pas normale. Rien de tout cela n'est normal ; ce n'est pas toi, ce ne sera jamais toi. Tu es déjà altéré. Plus encore que tu ne l'étais déjà en cédant à tes envies, en jetant ta nature humaine aux orties. Cette fois, c'est lui qui te transformes. Et ça te fait souffrir. D'être aussi vulnérable face à un autre.
Et pourquoi lui, d'abord ?
(Ah, mais heureusement que tu l'as appelé « ami ». Même si.)
Est-ce qu'il essaie de s'enfuir ? Est-ce qu'il essaie de s'éloigner de toi, physiquement, comme le signe que tu es trop intrusif à son goût ? Ton visage reste de marbre, mais tes ongles s'enfoncent dans ta paume - et la douleur ne vient même pas. Tu crois que tu ne comprends pas. Tu n'arrives pas à déterminer si c'est positif ou non ; s'il te laisse un peu d'espoir, ou s'il referme la porte devant toi. Tu restes un long moment silencieux ; tu as beau tourner la chose dans tous les sens, la signification t'échappe. Et tu pâlis. Même si ce n'est pas un non, ce n'est certainement pas un oui - et tu es seul, Côme. Tu n'appartiens pas à son existence, tu restes en dehors ; et l'observer depuis le seuil ne saurait te convenir. Tu voudrais juste qu'il te fasse signe d'entrer. Quitte à rester dans le hall. Mais entrer dans sa sphère, dans sa vie. Devenir quelqu'un qu'il reconnaît. Tu voudrais que le prénom de Côme soit unique à ses yeux (bien que, pour être honnête, il n'a pas dû en croiser beaucoup, des personnes portant ce prénom), qu'il ne voit plus que ton visage lorsque ces syllabes se forment dans ses oreilles. Juste le tien.
« Si tu ne te sens pas capable de croiser mon regard. Je ne te retiens pas. »
Ta voix sonne curieusement vide. Tu sais que tu ne dormiras pas ce soir ; tu vas sans doute penser incessamment à lui, et tu ne le lui diras jamais. Comme tu te sens misérable, tout à coup. Telle une existence indésirable qui s'efforce pourtant de trouver une place, quelque part. Tu te retournes, t'apprêtant à rentrer. Tu ne le vires pas, pas vraiment, mais tu ne vois pas vraiment ce que tu peux lui dire, désormais. Ta dernière phrase était aussi une formule de clôture.
Simplement, avant de retourner dans ton salon, le dos toujours tourné, tu rajoutes :
« Désolé d'être suffisant. »
Tu sais très bien que ce n'est pas ce qu'il voulait dire par là, mais peu importe. C'est ce que toi, tu penses quand tu le vois. Tu as douloureusement conscience de tes défauts, alors que les siens semblent prendre de moins en moins d'importance à tes yeux.
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Somnifère
Somnifère
IS IT TOO LATE NOW TO SAY SORRY ?
2016-02-07, 13:17



ft. côme
&
like breathing was easy
Il y a des silences glacés et des silences amourachés ; il y a des automnes effeuillés et d'autres qui résistent qui ne se laissent pas aller mais ce n'est pas à toi de décider, Alex. Il y a des nuits que tu aurais voulu plus longues et d'autres inexistantes oh tu a eu des histoires que tu veux effacer et des cœurs brisés que tu veux garder comme pour les collectionner comme pour dire combien tu es brave incassable inaltérable. ((mais regarde-toi Somnifère Somnifère Somnifère, offert contre du vide dans l'air)) Mais tu as beau espérer, Alex, prier et te damner ; ça ne fonctionne pas comme ça. Pas comme ça. Tu n'es pas libéré, pas détesté, pas ligoté // empoisonné emprisonné empaqueté dans des idées qui ne sont pas les tiennes. Dans des silences qui te sonnent trop étrangers ((et depuis quand est-ce que les sons t'appartiennent et depuis quand les vides ont des maîtres oh depuis quand est-ce que tu te crois omniscient ?))
On croit toujours qu'on nous impose les silences, mais non. On les laisse exister.
Et tu n'as pas en toi de quoi étouffer celui-là -tu t'en sens trop responsable, il y a comme son poids sur tes épaules et pourtant pourtant tu sais à quel point c'est stupide, pourtant tu sais que l'air n'est pas quelque chose qu'on porte du bout des doigts. Et puis quoi, Somnifère ? Tu t'attendais à quoi, Somnifère ? ((peut-être à des traits plus doux à une mue qui enlèverait ces écailles de sa peau à des silences moins pesants à des mots moins farouches à des idéaux plus atteignables))
Mais tu ne te sens pas capable de croiser son regard. C'est étrange -t'avais l'impression de t'être ouvert les veines pour qu'il puisse s'insinuer dans tes artères mais il ne fait que jeter du sel sur tes blessures, sur tes faiblesses sur ces choses que tu n'assumes jamais mais que tu dis du bout de la langue ((pas à n'importe qui, juste à lui))
Et les excuses ont la mauvaise habitude de sonner plus fausses qu'elles ne le sont vraiment -tu le sais, Alex, parce que quand ta voix tremble c'est qu'elle est vraie, quand elle se brise se casse sur quelques mots trop durs tu sais tu sais tu sais qu'elle est vraie parce que tu es écrasé face à nombre de ces objets et tu es désolé toi aussi, désolé désolé désolé. Et ses mots sont si lisses. Si calmes. Si apathiques.
Il s'en va. C'est sûrement mieux ainsi. Toi aussi, tu te lèves -il y a le bruissement de tes vêtements et cette salive qui colle dans ta bouche quand tu croises son regard. Quand tu le cherches, quand tu l'attrapes et que tu te brûles les cils. Désolé d'être rempli d'ennuis. Mais ce n'était pas contre toi Côme, ni contre qui que ce soit si ce n'est lui-même mais oh personne ne comprend que Somnifère aime fort fort fort sauf lui-même, mais personne ne comprend que sa seule haine n'est pas la tienne et que ses mots sont égoïstes quand ils ne doivent pas l'être.
Tu sais, Côme, il reviendra. Alex revient toujours ; mais parfois on ne le voit pas.
((alors regarde-le partir comme si c'était la dernière fois))
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