Resume } Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.
//LES RP LIBRES*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo
//DEMANDES DE RP*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo
Gabe se souvient du jour où il a postulé pour le Ragnarök. Disons plutôt le jour ou le major du Ragnarök lui est tombé dessus, l’a passé à tabac, a constaté son pouvoir et lui a proposé un poste. Gabe n’avait pas hésité un instant. Pour un gamin qui avait abandonné les études comme lui, et qui crevait d’envie de rendre ses parents fiers, c’était l’occasion rêvée. Il avait intégré l’école de formation de la police, puis avait suivi la formation spéciale pour rejoindre les rangs du club très fermé des chiens de l’état. Depuis, Gabe était l’un des soldats les plus actifs et assidus, il n’avait jamais loupé une mission, une réunion ou une convocation. Pas qu’il s’agisse d’un excès de zèle, mais tout le monde savait que Gabe Wild était une bombe à retardement qui se jetait à corps perdu dans les batailles pour essayer d’oublier, dans la douleur et le sang. Aujourd’hui, au QG, une réunion sur l’état d’urgence dans lequel Equilibrium était plongé dû aux multiples attentats sous formes d’incendies qui éclataient de part et d’autres un peu partout. Gabe avait prêt d’une heure d’avance parce qu’il était venu terminer un rapport sur l’incident à la mairie. Il avait dû faire un détour pour aller chercher un Kébab dans le nord, parce qu’ici à Aeon il n’y avait rien qui ne coûte pas un bras. Pas que Gabe ne soit pas dans une situation financière aisée, mais tout de même. Il préférait la bouffe grasse des fast foods de toute façon.
Lorsqu’il était entré dans la salle de pause, il y avait déjà un des autres gars qui était là. « Tiens, chalut~ » Il lança, la bouche pleine de curly fries. Il se laissa tomber dans un des fauteuils rembourrés, s’affalant sans aucune classe en face de l’autre gars. Il l’avisa, tout en continuant à dévorer son Kebab. Il ne l’avait jamais croisé avant, mais il connaissait tous les hauts gradés, et celui-là n’en était pas un, c’était sûr. « T’es vouvheau ichi ? » Il demanda, les sourcils haussés comiquement. Il avala sa bouchée, et sortit sa bouteille, la balançant dans les airs avant de la rattraper et d’en devisser le bouchon, le tout d’une seule main. Il but une, deux gorgées, avant de continuer, « J’t’ai jamais vu dans le coin. J’crois que j’t’aurais pas loupé. »
Il plissa les yeux. L’autre était pour le moins attire-l’œil. Ca non, il ne l’aurait pas loupé. Qu’est-ce qu’un gamin comme lui faisait dans leurs rangs ?
T'es pas habillé pour le travail, enfait, t'étais censé aller trainer avec des gens comme toi ; pas des amis, juste des gens comme toi. Au dernier moment t'as changé d'avis, t'avais plus envie. C'est pour ton soi-disant manque de considération pour autrui qu'on t'aime pas apparemment, c'est pour ça que tu côtoies que des riches aux airs suffisant qu'en ont rien à battre que tu sois là ou non, et à qui tu risques pas de manquer. Tu regrettes pas d'être venu si tot malgré le temps terne et l'allure sobre de la salle qui te met mal à l'aise. Y a mieux mais t'es censé y être, alors, t'y es. En avance, qui plus est ; ce qui est plutôt étonnant, étant donné que les réunions c'est pas vraiment ce que t'aimes le plus.
T'as oublié tes écouteurs dans tes oreilles, ça t'arrives souvent. Tu t'en rends compte quand un mec que t'as peut-être aperçu une ou deux fois vient s'agiter pas loin de toi. Les manières, qu'tu te dis quand il ouvre sa bouche sans prendre la peine de la vider. Tu veux pas y penser mais, ça fait un moment que t'as pas mangé alors t'évites de le regarder de trop. T'es soudain conscient que l'autre te parle, alors t'enlève un écouteur en haussant un sourcil.
oui ?
Il s'affale sur un fauteuil avec un grand manque de classe qui te fait rouler des yeux. Il t'a jamais vu apparemment, pourtant ça fait environ six mois que tu travailles ici ; ton amour-propre en prend un coup, mais tu l'avoueras jamais. « J’t’ai jamais vu dans le coin. J’crois que j’t’aurais pas loupé. » voilà autre chose, tu préfères pas trop réfléchir sur ce coup-là. Tu baisses la tête vers l'écran que t'as entre les mains et relances la musique, disons que, niveau impolitesse, il t'a largement devancé.
Pourtant, c'est le cas.
Qu'tu balances de but en blanc. tu ne fais pas dans la délicatesse. Il te dévisage un peu, trop, tu sais pas vraiment. Tu le dévisages aussi, ça faisait longtemps que t'avais pas eu même un semblant de discussion autre que virtuelle. Pourtant, t'es pas un gars asocial, disons plutôt que t'es de mauvaise compagnie.
J'suis sans grade particulier, c'est peut-être pour ça que tu me remets pas.
Et tu le dis sans conviction, parce que parler de toi comme d'un gars dont on se souvient pas ça te plaît pas du tout. M'enfin, tu le remets pas non plus alors les torts sont partagés. N'empêche que ça à pas l'air d'un mec sérieux, tu sais même pas s'il est important alors t'essayes de pas paraître trop sceptique a engager la discussion.
(nda : ok j'ai honte, en plus j'écoute des musiques de faible en écrivant.)
(c) MEI APPLE SPRING
Gabe Wild
2016-02-29, 22:53
Break the (sp)ice.
Dis-donc c’est qu’il est pas bien bavard le gars. Gabe ne peut pas s’empêcher de vouloir le titiller encore plus, du coup. Leurs regards ne font que se croiser, encore et encore, avant de se fuir, encore et encore. C’est perturbant. Est-ce qu’il essaye de l’ignorer ?
Gabe n’est pas vraiment le type de gars tellement magnifique qu’on peut pas s’empêcher de le mater – pas comme ce type. Gabe déglutit de travers et manque de s’étouffer. Ca le perdra un jour de vouloir enfoncer autant de matière dans sa bouche alors qu’il n’y a clairement pas l’espace pour. Il ricane graveleusement dans sa propre tête.
« T’en veux ? » Il dit en tendant sa barquette de frite vers le gars. « Moi c’est Gabe, mais tu peux m’appeler Gabe si tu veux. » Il dit avec un sourire en coin, fière de lui. « J’suis qu’un soldat aussi. Du coup j’suis surpris de pas t’avoir croisé avant. » Il se lève et vient poser la barquette de frites sur l’écran du téléphone du gars, avant de se laisser tomber à côté de lui dans le canapé.
Gabe est le genre de mec, quand tu le rencontres, ça te fait l’effet d’une tornade. Soit une bonne rafale qui te laisse décoiffé et le souffle court, soit en vrac et probablement quelques dents en moins. « C’est quoi ton p’tit prénom ? » Il demande, en glissant son petit doigt dans sa bouche pour récupérer des morceaux de kebab coincé entre ses dents. Pas super glam, mais Gabe a abandonné le fait de se préoccuper de ce que les autres pouvaient penser de lui, et ce il y a bien longtemps.
Ce mec est une des rares personnes sans gêne qui accoste encore les gens dans les transports en commun, t'en est sûr. Une espèce en voie de disparition, paraît-il. Sujets de moqueries de certains, et d'exaltation d'autres. T'as pas d'avis sur la question, c'est bien s'il veut partager sa nourriture mais, en général, les gens bien constitués n'acceptent pas celle des inconnus. « Moi c’est Gabe, mais tu peux m’appeler Gabe si tu veux. » C'est pas la même chose ? Tu sais pas quoi dire, t'as jamais eu le don de déceler les blagues subtiles, mais tu forces quand même un sourire parce que c'est la moindre des choses. Le brun se lève et s'approche de toi, peut-être que t'as été trop familier. Sûrement oui, parce qu'il pose nonchalamment ses frites sur ton téléphone. Tout va bien. T'as un moment de solitude, un genre de grand malaise qui s'insinue dans la pièce alors que tu trouves pas vraiment de mots à mettre sur ce qu'il vient de se passer. Tu prends une frite sans t'en rendre compte et, la seconde d'après, t'en as presque honte. « C’est quoi ton p’tit prénom ? » Qu'il demande en se curant les dents avec son doigt sans aucune gêne, aucune. Et, t'es partagé entre l'admiration et le dégoût. Heureusement qu'il est pas dégueu physiquement, t'imagines. Même si ça sauve pas vraiment de tout. Tu réprimes une grimace et t'emploies à lui répondre.
Wasabi. Et, avant que tu me le demandes, oui. Comme l'épice.
Tu fais toujours la moue quand tu le dis. Comme si tu t'attendais à une blague vaseuse ou une remarque vexante et, la plupart du temps, c'est ce qui tombe. T'aurais pu mentir et sortir un nom à la con mais, tu trouves ça trop stupide et cliché. Mentir sur son prénom, c'est comme mentir sur ses origines, on renie pas l'organe géniteur de maman.
Gabe, c'est un diminutif ?
T'essayes de rentrer un tant soit peu dans la discussion. T'es pas un mec timide de base, mais tu t'attendais pas vraiment à te faire aborder comme ça. Tu commences à te servir naturellement dans la barquette, vous vous connaissez assez à ton goût ; enfin, pas vraiment, mais qu'est-ce que ça peut lui faire, c'est lui qui a commencé.
(c) MEI APPLE SPRING
Gabe Wild
2016-03-02, 23:34
Break the (sp)ice.
‘Wasabi. Et, avant que tu me le demandes, oui. Comme l'épice.’
Gabe sent ses yeux s’écarquiller. Wasabi ? Ça c’est un nom qui en jette. « Sérieux ? Wasabi ? Classe. » Il sourit de toutes ses dents, et encore plus quand le blond commence à manger les frites. Bien, la glace est brisée, et Gabe sent que le courant peut passer entre eux, parce que l’autre ne l’a pas encore insulté ni n’a fui. Content, il s’étire, s’affalant un peu plus sur le canapé. Lorsque Wasabi lui demande si Gabe est un surnom, il hésite à lui répondre. Mais bon, l’autre semble faire des efforts pour continuer à discuter, alors, il lui doit bien ça.
« Gabriel. J’m’appelle Gabriel. Mais, c’est un prénom qui n’amène q’ des mauvais souvenirs, tu m’suis ? » Il tourne la tête vers Wasabi, pour le regarder, et lui pique une des frites qu’il allait amener a sa bouche. Toujours tester les limites, et pousser plus loin, pour voir jusqu’où il pouvait aller. Soit il en retirait une bonne bagarre comme il les aimait, soit il se faisait des amis, et dans les deux cas il était gagnant.
« Alors, Wasabi, c’est quoi tes origines ? Parce que c’est pas commun, ça, comme prénom, Wasabi. Je kiff grave. » Ses pères étaient des vieux de la vieille, genre vraiment, et parler comme les gamins des années 2000 c’était leur délire, dans la famille.
Tu te détends un peu sur ta chaise - enfin, détendre est un bien grand mot. Il a l'air étonné, c'est normal, qui ne le serait pas ? Mais, tu dois bien être le plus dérouté des deux. Classe, sérieusement? T'as jamais entendu ça, ce gars - Gabe - est définitivement trop étrange pour toi. Tellement étrange que tu t'en étouffes sur une frite. Enfin, t'arrives à articuler entre deux toux.
Désolé, c'est juste que t'es trop bizarre.
Et, c'est vrai. Tu tenais à le dire, que ça le blesse ou pas. S'il est susceptible tant pis, s'il ne l'ai pas, tant pis. T'as du mal à le cerner du coup, et ça t'énerve parce que tu sens que t'es un peu trop gentil avec cet inconnu. « Gabriel. J’m’appelle Gabriel. Mais, c’est un prénom qui n’amène q’ des mauvais souvenirs, tu m’suis ? » Des mauvais souvenirs ? donc, ce mec n'est pas tout blanc. Tu t'en fous et, en même temps, t'es un peu curieux. Mais, persuadé que tu t'en fous. Lui, il ne se gêne pas pour pénétrer ton espace vital comme si vous étiez amis et ça te dérange pas tellement. Pas que tu le considères comme tel, loin de la mais, sa présence n'est pas tellement désagréable.
Parce que tu crois que je n'ai que de bons souvenirs avec un prénom comme le mien ?
Si c'est le cas, Gabe est un idiot. D'ailleurs, il semble décidé à fraterniser et tu t'enfonces dans des questions de plus en plus personnelles. « Alors, Wasabi, c’est quoi tes origines ? Parce que c’est pas commun, ça, comme prénom, Wasabi. Je kiff grave. » ça change de ces blasés du ragnarok, toujours à faire la gueule - un peu comme toi. Sûr que c'est pas commun, personne n'appelle son gosse Wasabi. T'as toujours du mal à croire qu'il trouve ça 'kiffant' comme prénom.
J'suis allemand et coréen. Mon prénom n'a rien à voir, mes parents sont justes fans de bouffe asiatique.
Mais, quelque part, tu te demandes si c'était pas juste pour faire les originaux qu'ils t'ont nommé ainsi, sans prendre la peine d'imaginer qu'on pourrait - peut-être - disons, se moquer de toi ? Ce genre dequestions qu'ils auraient pu se poser semblent abrstraites à leurs yeux. Tu leurs en veux pas, t'aurais pu t'appeler Frank ou avoir un deuxième prénom du genre Stacy. C'est déjà ça.
(nda: c'est de la muerde. et ton prénom me fait penser à ça )
(c) MEI APPLE SPRING
Gabe Wild
2016-03-06, 23:58
Break the (sp)ice.
‘Désolé, c'est juste que t'es trop bizarre’ Gabe sourit de toutes ses dents. Wasabi n’a pas faux. C’est d’ailleurs pour ça que les gens se détournent de lui d’habitude.
Il termine son kebab et pose le cadavre du papier aluminium qui entourait son sandwich, sur la table, avant de se renfoncer dans le canapé. Le meeting approche, mais maintenant, Gabe ne rêve que d’une sieste. Ou de continuer à embêter ce pauvre gars qui n’a rien demandé.
« Juste des fans de bouffes asiat’, hein ? Purée j’me vois pas appeler un gamin burger-frites. » Il se gratte le menton et laisse échapper un rot, avant de ricaner. « Okay, promis j’ai terminé d’être un gros porc pour aujourd’hui. Non mais sérieusement, tu devrais être fière de ton prénom, c’est sympa d’être original. Alors, ça fait combien de temps que tu bosses ici ? » Il lui demande en tournant le visage vers lui pour le fixer, encore une fois. C’est dingue, il pense, ce gars est d’une beauté… Presque déplacée pour un soldat du Ragnarök. « Et pourquoi tu bosses ici, si c’est pas indiscret ? »
Pas que quoi que ce soit puisses être indiscret maintenant, de toute façon. Gabe avait défoncé toutes les barrières possibles et imaginables que le bon sens avait imposées à leur rencontre. Pas de bon sens, pas de barrières, aussi simple que ça. Et simple, c’est ce qui définissait le mieux Gabe. Ou du moins essayait-il de s’y appliquer.
[NdA : J'AI EU LA CHANSON DANS LA TETE PENDANT TOUT CE TEMPS JE TE HAIS MDR. Also desolé pour le temps de réponse hhhh]
Accueil
)