//RP DU MOMENT*
Titrejoueur & joueur
Resume } Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

//LES RP LIBRES*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo
//DEMANDES DE RP*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo



 
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

 :: PARTY HARD :: COMMUNICATION :: LIENS Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

du lever au coucher du soleil.

Crépuscule
Crépuscule
2016-02-16, 21:28


Ernesto
Darrell-Mendoza

pseudonyme ; crépuscule | âge ; 47 | sexe ; masculin | nationalité ; américain naturalisé | origines ; américano-péruviennes | race ; altered | groupe ; ragnarök | occupation ; général | situation maritale ; divorcé | situation financière ; moyenne | habitation ; aeon | pouvoir ; pile, capacité à produire de l'énergie (d'où le hublot bleu sur sa poitrine)

des collègues, des gens bien, ou mauvais.

Sinon, je recherche un lien très important avec une personne aussi pourrie. Si votre personnage est capable de commettre des meurtres, des enlèvements et autres, que vous avez envie de le faire évoluer et d'avoir un lien très important avec Crépuscule, envoyez un mp qu'on en discute. (a)


libre.
Mendoza est comme un volcan gelé. Une fournaise brûle sous la façade ; tout le monde la voit, mais, vaincus par l'illusion d'une sécurité totale derrière la vitre de son contrôle, nul ne s'en soucie. Mendoza, c'est un ouragan essoufflé qui a perdu en force. Un couteau émoussé, dont on ne voit guère comment il peut encore faire souffrir. Mendoza, c'est la fin du monde arrivée trop tard, et qui ne peut plus rien détruire. On se sent en sécurité, avec lui ; Mendoza dégage cette sérénité tranquille, une impression de non-violence que l'on confondrait aisément avec du pacifisme - et l'on oublie qu'il n'est qu'un militaire.
La destruction est sa voie. Depuis toujours, il l'a sentie l'appeler. Le goût du mal courait dans sa veine et il n'a jamais cru bon de démentir son inclination pour la violence. Colérique, impulsif, Mendoza est cet homme qui n'a jamais réussi à se fixer de réelles limites. S'il s'apaise, ce n'est que parce que l'on ne peut brûler incessamment. Chaque flamme doit se reposer, à un moment ou à un autre. Peut-être Mendoza est-il simplement en veille. Peut-être attend-t-il simplement l'étincelle qui fera repartir le brasier.
D'où tire-t-il sa stabilité ? Plus calme qu'autrefois, Mendoza semble avoir trouvé une barrière. D'aucuns diront que c'est l'âge. D'autres imputent la faute à une situation familiale qui le dépasse - Mendoza est la solitude, même lorsqu'il est avec d'autres, il se distingue d'eux par la clarté de son rire, légèrement décalé - comme un écho des leurs. Plus raisonnable, mais peut-être semble-t-il affecter sa modération. Un loup ne saurait lutter contre sa nature.
Mais il sourit, il a l'air à l'aise en société ; il inspire confiance et incite le monde à tourner autour de lui. Mendoza, c'est un conquérant. Il fait partie de ces hommes qui ont mis le monde à leurs pieds et ne compte pas s'arrêter là. L'univers même ne saurait lui suffire. Homme du monde qui inspire le désir de le suivre en enfer ; voilà comment l'homme s'est hissé dans la hiérarchie. Son charisme est tel qu'on ne lui prête jamais de mauvaises intentions.
Alors même que Mendoza est un mystère ambulant - qu'il y a des zones d'ombre qui l'environnent, et des vides absurdes que l'on ne parvient guère à combler. On ne le comprend pas, Mendoza ; on l'admire, on l'idolâtre, mais on ne touche jamais son être profond. On ne sait pas lui faire plaisir. Son propre bonheur semble avoir été relégué aux oubliettes. Sourire, ce n'est pas connaître la joie ; c'est imiter l'état du béat dont les désirs sont en parfaite adéquation avec sa réalité.
Si Mendoza protège, c'est parce qu'il est avare. Ses prérogatives sont siennes, et on n'oserait empiéter sur son territoire. Mendoza se défend. Avec la hargne du lion, conscient qu'il est le roi des animaux. Peut-être un peu de bonté teinte-t-elle parfois son combat. Peut-être s'adoucit-il parfois, lorsqu'il estime qu'il n'a rien à perdre.
Mais Mendoza n'est pas un homme bon. S'il est joueur, c'est par ennui. Mendoza cherche à tout prix le ravissement ; la chose qui saura enfin le rendre pleinement vivant, qui brisera la glace qui l'enserre, qui le libérera de ces entraves. Sans savoir que cette tentative est, au fond, vouée à l'échec. Mendoza a trop à perdre ; lui le sait bien. Il n'osera jamais sortir de son sentier pour vivre. Il se condamne. Condamnation à perpétuité.
Et il est prêt à en payer le prix.


Revenir en haut Aller en bas
Crépuscule
Crépuscule
2016-02-16, 21:28

prénom
nom
age
groupe
yo

Revenir en haut Aller en bas
du lever au coucher du soleil.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» “Jamais le soleil ne voit l’ombre.” • Sunny
» “Jamais le soleil ne voit l’ombre.” • Sunny [TERMINE]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DAFTLAND! :: PARTY HARD :: COMMUNICATION :: LIENS-
Sauter vers: