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In your eyes I see the dawn | Edelweiss

Anonymous
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2016-01-13, 23:11
In your eyes I see the dawn
How did you get to save me from this desolate wasteland
Banalité, un ciel sombre et un vent méprisant les mortelles encore à l'extérieur, la nature se déversait, se remplissait et recommençait. Vengeance, rancune, amertune ? Seul Dieu pourrait le dire, mais il n'est pas du genre bavard lui, assit sur ton trone tel un hibou observant les souries qui dancent. Par contre, il aurait beaucoup de mots à dire à celui qui, depuis quelques heures, le maudissait sans retenu apparante et sans jolie compliment. Pris dans le déluge, l'apocalypse, la fin du monde que les cieux faisant pleurer sur lui, un berger allemand fixait les nuages aux couleurs menaçante alors qu'il essayait tant bien que mal d'utiliser un buisson un peu dégarnit pour se protéger des larmes froides de mère nature. Des mots secs, des insultes corporels et de race, tous son vocabulaire y passa, même si personne ne pouvait l'entendre. Mais pourquoi avait-il pris ce risque ? Eh bien, il avait fallu que, par une matinée agréable où son lit était la création de Dieu la plus importante de ce petit univers, le téléphone portable installé sur sa table de chevet se mette à vibré. Grognement, insulte, plainte et cris, il laissa un mélange explosif se déverser jusqu'à ce qu'il finisse par accepter après avoir été promis d'une double récompense. Toutefois, à l'heure actuelle, alors que tout ce qu'il désirait était un endroit chaud, il n'avait pas réussi à trouver la personne qu'il devait rejoindre. Celle-ci ayant surement fait demi tour en ayant vu l'encre s'infiltrant dans le coton parfaitement blanc des nuages.

[ Asshole, la prochaine fois qu'il me réveille, je vais chez lui plutôt et je le flagelle.] pensa t-il pour lui-même alors que, caché par ses grognements d'irritation, il n'entendit pas les sons de pas non loin de lui, le craquement de la singulière brindille que l'on retrouve dans tous les films d'Hollywood.

Secouant la tête, passant une patte sur sa tête pour dégager quelques feuilles lui ayant tombé sur dessus, le vent s'amusant à te transformer en arbre, le canidé fit brusquement le saut lorsqu'une voix s'adressa à lui. Se redressant brusquement, les oreilles basses et les babines légèrement relever, dévoilant ses dents blanches, il leva son unique oeil vers l'humaine non loin de lui et l'observa, n'ayant pas le moindre du monde comprit ce qu'elle lui avait dit et pourquoi elle, humaine, s'approchait du molosse qu'il était. Après tous, ce n'était pas le genre de chien à accepter les caresses derrières les oreilles.



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Anonymous
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2016-01-29, 22:40
scarface / 739 / ♥

Les gouttelettes ruissellent dans les gouttières ; il y a cette odeur humide qui n’est pas désagréable ; les nuages ne cessent de verser leurs larmes sur la ville d’Equilibrium. Décidément, aujourd'hui il n’a fait que pleuvoir ; et encore, si ce n’était que la pluie, ce ne serait pas si dérangeant, cela rend simplement le temps maussade et puis, lorsque l’on travaille à la clinique vétérinaire, on ne fait pas réellement attention à ce qui se passe à l’extérieur. De plus, ce n’est pas toi qui va détester la pluie ; après tout, le pouvoir que tu possèdes grâce à la fameuse application, c’est l’aquakinésie, ce serait ironique de dire que tu la détestes, alors qu’elle peut t’être utile d’une certaine façon.

Une brise glacial ; un long frisson traverse le long de ton échine ; les dents claquent les unes contre les autres et tu peines à te réchauffer à l’aide de tes mains, frottant tes bras comme tu le peux. Observant par la suite tes pauvres mains desséchées dû au temps, tu souffles un nuage de chaleur s’extirpant alors d’entre tes lippes afin d’apaiser tes pauvres doigts gelées : qu’est-ce que tu ne donnerais pas pour un thé bien chaud, ainsi que d’un plaid pour te couvrir les bras, cela pourrait te réchauffer. Replaçant doucement ton écharpe autour de ton cou, tu glisses ton nez sous celle-ci.

Serrant doucement le parapluie dans tes mains, tes pas t’avaient emmené dans le Pandora Gardens ; tu apprécies venir ici, le paysage germanique te rappelle tes origines. Qu’il vente, qu’il neige ou qu’il pleuve, cela ne te dérange pas de venir jusque-là pour simplement te changer les idées. Pour dire vrai, tu pourrais passer des heures à contempler ce parc que tu ne t’en lasserais pas ; alors tu te ballades et ballades, seul tes pas te guidant.

Un léger soupire s’échappe de tes lippes, la pluie commence à s’accentuer légèrement plus, le bruit des gouttes retentissant plus fort contre le tissu du parapluie. Tu t’empresses légèrement, voulant essayer de rejoindre un abri. Cependant, quelque chose te coupe dans ton élan en attirant ton attention ; l’un des buissons à proximité venait de bouger. Arquant doucement un sourcil, tu t’approches tranquillement de la broussaille à pas de loup ; te frayant un chemin en repoussant les branches sur ton passage.

Un chien, tout seul ; un berger allemand pour être plus précis. Décidément, tes origines te suivent. Mais que faisait-il là tout seul en plein milieu des buissons et sous la pluie ? Blessé ; malade ; abandonné… Tant de possibilité, mais tu dois t’approcher et l’aider si tu veux savoir, ce que tu comptes évidemment faire.

« Tu es perdu mon beau ? » Lances-tu comme si l’animal allait te répondre.

Et là, tes yeux s’écarquillent doucement ; borgne. Un canidé borgne. Fronçant soudainement tes sourcils, tu tires une légère grimace en soupirant longuement ; il semble comme effrayer ou sur ses gardes ; les crocs blanc de sortit. Tes paupières se plissent légèrement, glissant ta main libre dans ta nuque comme pour la masser, tu réfléchis un instant et tu finis par t’accroupir en gardant une certaine distance de sécurité avec lui. Tu ne le connais pas et lui non plus, tu n’as pas spécialement envie d’avoir le visage déchiqueté aussi, même si t’es vétérinaire, les gros chiens n’en sont pas pour autant gentil lorsqu’ils ont été maltraité.

« Je ne te veux pas de mal, regarde » Déposant le parapluie au sol, tu lui tends doucement les mains, affichant un doux sourire, attendant qu’il constate de lui-même que rien ne se trouve dans tes deux mains.

Clignant vivement des paupières par la suite, tu attrapes doucement ton sac, tirant un sachet de croquettes pour chien, ainsi qu’une serviette. « Tu as sûrement faim et puis tu es trempé. » Déposant les quelques friandises dans le creux de ta main, tu la lui tends de plus belle afin qu’il se nourrisse. Attendant cependant avant de poser la serviette sur son corps, préférant qu’il arrive à avoir confiance en toi avant de forcer quoi que ce soit.

Pauvre bête tout de même, il semble abandonné. Tu avais vu plusieurs cas d’animaux blessés, mais rare sont ceux à qui un œil est manquant. Est-ce l’homme qui lui a fait ça ? Fort probable et rien que pour ça, tu maudis l’être humain qui s’est pris à cette pauvre bête.


HRP Δ Hallelujah, dans ce rp Edel est pas handicapée ghridgoid. Je me perds dans la chronologie, but well, c'est pas grave. Elle est pas encore en fauteuil roulant ici gngng.


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Anonymous
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2016-02-13, 01:14
Jesus Christ! Don't be kind to me.
Honey don't feed me - I will come back.
Et elle recommença sa chanson. Douce, mélodieuse tout comme le chant des anges accrochés au ciel, il lui donne une chance. L'écoutant, attentif au changement de ton, de la vibration qui se dégageait de sa gorge, de ses cordes vocale duquel elle était la violoniste, il ne bouge pas. Malgré ses babines redresser, malgré son échine rien visible, il la regarde approcher. Malgré ses dents blanches bien visible, il la regarde lui montré ses mains. Malgré tous ce que son être lui jetait au visage, elle ne reculait pas. Il ne la comprenait pas. Se jeter dans la bouche du loup, ce faire si petit face au géant, la brebis pour le loup. Mais de nouveau, elle ne fléchit pas. Elle continua. Ses gens se faisait doucement alors que tout en lui allait rapidement. Elle lui donna alors que tous ce qu'il avait, c'était absolument rien. Elle lui proposa son aide et il était la bête qui, par cette journée froide et remplit des larmes des dieux, accepta de ne pas suivre son instinct.

Doucement, comme la pluie qui lui glissait le long du museau, comme celle qui tombait le long du menton de la jeune femme devant lui, le chien couvrit ses crocs. Doucement, il reprit une posture plus neutre, décoinçant sa défensive pour une légitime indifférence. Il s'ouvrait un peu plus à elle alors qu'elle parla pour elle même. Oui, elle le mentionnait avec tant de vitalité, mais elle ne savait point ce qu'il était. Elle ne savait pas qu'elle était écouter par un homme et non une bête. Point important n'était le besoin qu'elle le sache un jour, mais alors qu'elle fit apparaître de la nourriture entre ses douces mains au allure de porcelaine, cette pensé fitt mouche. L'odeur, le parfum de la viande lui venant bien vite au nez, il approcha. Le parfum, le goût vola jusqu'à ses papilles alors qu'il ouvrit doucement la bouche pour les prendre entre ses dents. Bref fut le temps qu'il prit pour les manger et pour la première fois dans les quelques minutes qui s’écoulèrent, la bête fut calme. Moins chambré, moins volumineuse, il toqua la bête sauvage pour la bête docile. La bête aux dents tranchante pour celle au museau curieux. Bien qu'il gardait tout de même ses distances, il la remercia de cette façon alors qu'il finit par se recoucher au sol. Ses pattes frottant la terre, son postérieur se redressant alors qu'il s'étira agréablement, il refixa son iris sur la demoiselle en face de lui avant d'entendre un bruit au loin.

Un pas, deux pas, beaucoup trop, il serra les dents. Alors que la poupée venait doucement porter une serviette à son dos, le stresse le reprit. Alors que le moment aurait été parfaitement écrit, une tache d'encre recouvra la suite. D'une noirceur exécrable, elle arriva à toute vitesse et posa sa main sur l'épaule de la jeune femme, la tirant brusquement vers l'arrière. Et il se maudit. Après tous, malgré ce qu'il avait cru, malgré ce que la température l'aurait faire croire, il était venu. Ce cher client, ce cher trou de cul qui était aussi tremblé qu'il ne l'était. Il était venu et il avait osé. De ses mains sale, elle l'avait ébranlé, de ses mains sale, il avait détruit leur moment et de ses mains sales il n'aurait plus la fonction puisque, lorsque la voix de l'homme brisa le silence, la voix du chien s'éleva. Bondissant d'un bon vers l'homme, sa bouche grande ouverte pour saisir et déchiré, elle se referma comme un clapet lorsque le contact se fit. Ses canines se plantant dans la chair de l'avant bras, il tira. Secouant sa tête, il le punit et le fit maudire d'être finalement venu. Oui, il savait qu'il venait de se mettre dans la merde en attaquant son client, mais c'était lui qui était en faute alors, lorsqu'il finit par ouvrir sa bouche de poignard, il le fit déguerpir au plus vite en lui présentant de nouveau ses crocs sanglant et le poursuivit quelques mètres avant de s'arrêter. Inspirant, expirant, sa cage thoracique se soulevant et s'affaissant, le berge allemand lécha ses babines avant de se retourner vers la demoiselle. La langue sortie, son souffle étant redevenu régulier, il fit quelques pas vers elle et ramassa la serviette qui avait glisser de son dos. Allait-elle être plus effrayé maintenant? Allait-elle le laisser là? Il n'en savait rien, mais pendant ce temps, le ciel continua de pleurer.



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Anonymous
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2016-02-23, 19:27
scarface / 739 / ♥

Bless - Il s’adoucit, il est plus calme, ses babines recouvrent ses crocs alors qu’il dévore ce qui se trouve entre tes mains de poupées ; aurais-tu réussi à le mettre en confiance ? Peut-être, et cela t’arrache un sourire. Ton approche n’aura pas été vaine, tu préfères qu’il se remplit la pense avec ces friandises pour chien que tes doigts fragiles. Si tu avais le courage, tu aurais probablement caressé entre ses deux oreilles ; mais tu ne connais pas ce chien, il peut avoir des réactions brusques et tu ne voudrais pas y perdre un bras. Cela reste un berger allemand après tout, un bon chien de garde qui peut être dangereux. Tapotant doucement tes mains entre elles une fois qu’il a fini son repas, tu attrapes un mouchoir à l’intérieur de ton sac pour t’essuyer les mains et ainsi de retirer les miettes restantes qui colle dû à la pluie et à la salive du canidé.

Déposant en douceur la serviette sur son dos en ayant l’intention de le sécher, tu remarques bien vite la réaction du chien. Aurait-il entendu quelque chose ? Essayant de suivre son regard sur le côté ; tu ne vois rien. Peut-être un écureuil, ou un oiseau. Si seulement c’était un oiseau. Le corps basculant brusquement en arrière, tu tombes sur tes coudes en faisant attention à ce qui se trouve derrière ton nombril. On ne peut plus tenir compagnie à un chien sans se faire brusquer par autrui ? Où va le monde. Posant vivement l’une de tes mains sur ton épaule, tu vis ton compagnon du jour bondir sur l’homme comme pour le chasser. Est-ce qu’il vient de prendre ta défense ? Il semblerait.

Tu pouvais entendre les grognements de l’animal, alors que l’homme essaya de se débattre en gémissant de douleur dû aux crocs se retrouvant coincé dans sa chair. Tu te contentais de rester au sol ; effarée face à un tel spectacle. Les deux s’éloignèrent, l’homme s’enfuit la queue entre les jambes alors que le chien gagne cet affront. Tu te demandes bien ce qu’il voulait cet homme, tu aurais pu le défendre cela dit, mais le canidé fut bien trop rapide. Croire en la bête, ou croire en l’homme ? Tu l’ignores & tu restes là, assise par terre en tirant la tête en arrière. Les gouttes ruisselant le long de ton visage, tu fermes doucement les paupières en prenant une longue bouchée d’air frais. Les feuilles des branches te protègent un peu, toi & ce petit être grandissant derrière ton nombril. Puis le voilà qu’il revient, ce brave chien au grand cœur ; avec le pelage recouvert d’une substance pourpres. Esquissant un léger sourire en le voyant récupérer la serviette, tu l’attrapes doucement d’entre ses crocs, pour la lui poser sur la tête, essuyant convenablement son pelage trempé.

« Je ne sais pas si je dois te dire merci ou non, mais le simple fait qu’il semblerait que tu aies fais une bonne action, me pousse à te remercier. » Un rire s’échappe d’entre tes lippes, amusé par ce qui venait de se produire. Défendre l’homme ou l’animal ? C’est une bonne question, tu préfères choisir le chien. Lui au moins ne t’a pas brusquement tirer en arrière. « Soit je suis trop inconsciente, soit j’ai l’habitude des chiens qui montrent leurs crocs. Cela a du bon d’être vétérinaire visiblement, n’importe qui aurait sans doute eu peur de toi. » L’inconscience serait plus exacte, mais l’habitude n’est pas tout à fait faux non plus.

Terminant de le sécher convenablement, tu attrapes ton parapluie en rangeant un peu tout dans ton sac. Puis tu te redresses doucement afin de te mettre debout, tapotant sur tes vêtements trempés les bouts d’herbes et de terres qui auraient pu s’y installer. « On ferait mieux de trouver un endroit où on sera à l’abris, je pourrais m’occuper de toi dans un endroit plus chaud. » Lances-tu pour toi-même ; tournant la tête vers le canidé, tu affiches doucement un sourire, te demandant si il voudrait bien te suivre. Est-ce qu’il comprend d’ailleurs ? Tu te le demandes. Mais tu avances de quelques pas, te tournant vers lui de temps à autres pour vérifier s’il te suit. « Viens ! » Tu ne sais pas trop où tu vas, n’importe quel endroit chaud serait le bienvenue. Passant doucement ta main sur ton épaule, tu la bouges un peu en te la massant. Il n’est pas y aller de main morte cet homme, tu as une légère douleur musculaire ; quel plaie.


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In your eyes I see the dawn | Edelweiss
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