//RP DU MOMENT*
Titrejoueur & joueur
Resume } Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

//LES RP LIBRES*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo
//DEMANDES DE RP*www.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudowww.titre//Par pseudo



 

 :: PARTY HARD :: LES RPS Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Une fois par hasard — FEAT SIMBA

Anonymous
Invité
Invité
2016-01-25, 22:49
Une fois par hasard


L'air nauséabond du renfermé te monta au cerveau. Tu descendis les escalier en grimaçant. Tu te plaignais toujours de ses odeurs de pisse et de sueur volant un peu partout dans l'immeuble, mais tu avais voulu habiter ici alors tu faisais avec.
Portant un simple t-shirt blanc caché par un polo beige taupe, tes vêtements te collèrent à la peau révélant la pauvre masse musculaire de ton pauvre corps frêle en apparence. Ton jean usé par le temps était un peu trop grand et cachait ses vieilles converses noires devenues grisâtres. Passant la main dans tes cheveux, tu respiras un bon coup, changeant ainsi tes pensées.

La supérette était ouverte. Heureusement : il ne restait plus rien dans ton réfrigérateur, il fallait que tu achètes de quoi remplir ce petit estomac. Tu entras à l'intérieur et salua poliment, comme à chaque fois le propriétaire, toujours en espérant qu'il ne vienne pas te raconter sa misérable vie d'homme pseudo-viril jouant à la pétanque à ses heures perdues. Non cette fois si il ne le faisait pas, trop occuper à placer les nouvelles commandes dans les rayons et ainsi les laisser pourrir.

Faisant un tour chez les légumes et fruits, tu scrutais rapidement les végétaux qui laissaient vraiment à désirer. Le dégoût se lisait sur ton visage ; heureusement que tu étais de dos sinon le proprio allait encore te faire la morale du tout-est-comestible. Tu pris au hasard un avocat puis tu le reposais de peur qu'il ne se décompose dans tes mains. « Y-a-t-il quelque chose de comestible ici ?? »
jae-won bang & simba miyazaki

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
2016-01-26, 22:12




la première fois par hasard | ft. jae-won bang


Un pas après l’autre, tu te glisses dans la rue comme un fantôme en noir. Ce quartier n’est pas le tien – tu n’es pas habitué à traîner par ici. Tu avances d’un pas souple et rapide ; tel un homme invisible. Tu agis comme un sordide souffle au milieu d’une tempête – tandis qu’autour de toi, règne l’immense brouhaha des pensées qui se confondent dans ta tête.

Tu te faufiles alors entre les corps et les véhicules avec une agilité étrange – qui ne t’est certainement procurée que par l’effroi que te prodigues la population. Ton regard se pose sur les enseignes que tu croises, et ce n’est qu’après quelques minutes de marches, qui te semblent sans fin, que tu retrouves avec soulagement la superette que tu avais repérée un peu plus tôt dans la journée.

La porte gémit quand elle glisse pour te laisser entrer. L’intérieur est aussi miteux que le promet la devanture – mais tu prêtes à peine attention à la saleté qui recouvre l’ensemble des étagères et aux tâches de gras sur le carrelage froid. Toi, tu traînes entre les rayons, maudissant ton pauvre salaire ; apparemment, le fait que les lieux soient parfaitement insalubres ici n’entraîne pas une diminution du prix des aliments. Tu pestes intérieurement.

Un silence froid règne dans la pièce, à peine brisé par le grésillement d’un néon. Tu frissonnes doucement dans cette atmosphère glacée, et ton pas se fait plus lent – et presque décontracté – alors que tu te crois seul client du miséreux bâtiment.

Mais entre les conserves et les légumes, tu aperçois, du coin de l’œil, cet asiatique à la carrure fine, au regard fier ; comme une tâche au milieu du décor. Il ne semble pas réellement dans son élément, à en juger par la mine déconfite qu’il arbore en observant l’étal devant lui. Dans un élan presque amusé tu glisses ton esprit dans le sien ; qui est-il ? Etrange curiosité qui t’animes face à cet inconnu.

Tu sais pourtant que tu ne pourras t’en prendre qu’à toi, Simba, si ses pensées ne te plaisent pas.

D’un  geste machinal, tu attrapes malgré toi une boite sans même te préoccuper de ce qu’elle contient ; et prends l’air le plus intéressé possible quant à l’étiquette de celle-ci. Mais, sans le vouloir, tu sens ton regard irrésistiblement attiré par l’homme en beige dont tu démêles peu à peu les pensées ; guère réjouissantes.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
2016-01-26, 23:08
Une fois par hasard


Tu commençais à comprendre l'absence totale de clientèle ici. Retenant de temps en temps ta respiration, tu ne voulais pas retrouver de la moisissure de courgette dans tes poumons, même si elle ne pouvait pas entrer par les voies respiratoires, ce n'est par pur réflexe que tu retenais le semblant d'air frais. « Qu'est-ce que je vais bien pouvoir manger ce soir ? » te demandas-tu ironiquement tout en sachant que tu trainais dans ce pitoyable magasin pour rien, car tu savais bien au fond que tu n'achèterais rien ici. Mais tu passas quand même près des boites de conserves, espérant trouver quelque chose de potable.

Houra ! Certaines n'avaient pas encore dépassées la date de péremption. Des raviolis, des lentilles... « Sérieux, j'vais encore me retaper des raviolis ? ». La porte s'ouvrit dans un grincement extrêmement désagréable. Tu n'étais donc pas le seul à devoir faire tes courses à la dernière minute. Ne faisant pas attention dans un premier temps à ce nouveau client se trouvant dans le même cas que toi, tu cherchas autre chose que de simples raviolis, tu voulais faire varier les plaisirs, même s'il était limité aux spaghettis et aux pizzas.

L'inconnu se trouva à un rayon de 50m de toi. Comme tout être humain, tu détournas discrètement les yeux vers cette personne, voulant au moins savoir à quelle classe sociale elle appartenait. Tu allais sûrement la juger sur ces vêtements et l'aspect de sa chevelure, ce que tu faisais tout le temps, mais ce n'était pas bien de juger sans connaître. L'inconnu entra dans ton champ de vision et tu restais perplexe. Son allure ressemblait à celui de ces rares hommes associables qui ne sortaient que toutes les deux semaines pour remplir leur réfrigérateur, mais celui-ci avait un peu plus... de classe peut-être. Sur le coup tu ne ressentais pas de pitié, pas de méchanceté à son égard, mais le fait qu'il lise aussi passionnément la liste des ingrédients écrite au dos de la boite te dit grandement sourire ; un sourire que tu essayais de ne pas trop dévoiler, s'est-on jamais s'il ne voit. Mais un léger gloussement trahit ta crédibilité. Tu mis immédiatement ta main sur ta bouche, ne voulant pas montrer ce sourire mesquin. « Merde, j'suis pas discret. Si ça se trouve ce mec est dépressif et il va interpréter mon geste comme une moquerie envers lui, et en rentrant chez lui il va se suicider à cause d'un rire à la con qui ne lui était pas destiné... enfin si en parti. Mais pourquoi je pense tout de suite à ça ? C'est tellement pessimiste comme pensée... Au pire... Il se mutilera !! ». Cette dernière pensée te fit rire pour de bon.
jae-won bang & simba miyazaki

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
2016-02-07, 19:00




la première fois par hasard | ft. jae won-bang


Tu regrettes aussitôt ta curiosité mal placée, ne t’a-t-on pas assez répété qu’elle était un mauvais défaut ? Détache toi de cet esprit, sombre idiot – tentes-tu toi-même de te convaincre, sans succès. Tu es un sale gosse, parfois, immature et coriace même quand il se sait en danger. Tu regretteras tout ça, et tu le sais. Les pensées immondes de cet inconnu te répugnent ; tu aimerais l’empêcher de penser – terrible désir qui ne sera jamais assouvi. Tu te sens si impuissant face à la mocheté de ses pensées.

Et c’est le bruit de la boite que tu tenais entre les mains s’écrasant sur le sol qui te pousse à réagir. D’un geste lent, le regard fixé sur un point invisible, tu t’abaisses pour la ramasser et la remettre à sa place.

Et c’est le bruit de son rire qui éclate qui t’enrage le plus. Il rit, s’amuse de ses pensées – se moque de toi sans avoir conscience que tu sais tout, l’infâme. Archétype des êtres que tu hais le plus ; ceux-là qui se rit des autres, leur imagine une vie, les ridiculise dans leur dos dans le seul de but de se satisfaire eux-mêmes.

Mais, Simba, n’es-tu pas blessé parce que, celui-là, il a vu juste ? Certes tu n’irais pas jusqu’à commettre l’irréparable pour si peu, mais son premier rire t’avait en effet irrité – plongé dans les doutes de te paranoïa.

Pauvre chaton vexé, tu soupires lourdement. Tu aimerais lui faire regretter ses pensées, ravaler son rire. Tu aimerais, tu aimerais tant – mais pour le moment tu te contiens, et t’intimes de faire profil bas. Alors, tu tentes d’ignorer ses sombres pensées, en vain ; tu n’arrives pas à te détacher de son esprit, comme aimanté par une malsaine curiosité, une obsession nouvelle pour cet être mauvais.

Résigné, défait, tu te laisses aller à sombrer dans ses pensées, à mêler ton esprit confus au sien. Tu te dis que ce n’est que pour quelques instants, le temps de vérifier, vérifier oui, et après tu t’en éloignerais.

Comme si il y avait quoi que ce soit à vérifier, sombre idiot.

Tu quittes le rayon pour t’avancer dans sa direction, t’approcher de lui subrepticement afin de mieux l’épier – mais ses pensées ne te plaisent toujours pas. Tu le hais sans le connaître – ou tout du moins sans qu’il te connaisse. Tu feins pourtant encore l’ignorance, la parfaite indifférence vis-à-vis de son comportement, comme si il n’était pas responsable du fait que tu as échappé cette fichue boite. Ton pas se fait lent, souple, et tu traverses le rayon avec une aisance qui aurait été parfaite si tu n’avais pas manqué trébucher à moins de trois ou quatre pas de l’homme. Tu pestes à voix basse ; incapable que tu es, penses-tu. Tu en profites pour jeter un coup d’œil aux aliments qui t’entourent et tu sens la proximité oppressante de celui qui s’est moqué de toi peser sur ton esprit.

Mais t’as la tête trop étroite ; à deux doigts du craquage, dans tout ton corps ses pensées ne provoquent que ta rage. Tu maîtrises les apparences mais pas l’esprit, et c’est dans un élan de dégoût que tu t’adresses à lui directement dans ses pensées.

« Et s’il est dépressif, alors tu es fou. Voilà que tu entends des voix, maintenant ? »


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
2016-02-12, 22:16
Une fois par hasard


C'était bâtard. Tes pensées étaient vraiment horribles. Heureusement que personne ne pouvait lire dans ton esprit ou il serait perdu dans les méandre de la perversité humaine. Si seulement... T'arrêtant un instant, tu réfléchissais quelques secondes sur ces dernières pensées. « Je suis un vrai connard... » Juger une personne sans la connaitre, c'est vraiment immonde, tu le sais mais c'est presque compulsif chez toi. Ça te fait rire d'imaginer la vie des gens d'après leur apparence. Quel connard tu fais. Pauvre petit Simba, il est tombé au mauvais endroit sur la mauvaise personne. Ça aurait pu tomber sur n'importe qui, mais ça devait être lui et sa haine envers l'être humain.

Tu reprends enfin ton calme et réfléchis sérieusement à ton repas ce soir, mais aussi à l'homme qui allait venir dans ton lit. Bah oui, aussi volatile que le vent, tu ramènes toujours quelqu'un à la maison pour la nuit. Quel connard tu es. Mais le seul problème c'est que tu n'avais trouvé encore personne. Triste vie. Tu repensais à certains clients dont tu avais le numéro -à force de les côtoyer- mais ce n'était rien d'autre que des plans de secours.

Bref ces boites de raviolis feront l'affaire ce soir. Tu avais complètement oublié la présence de Simba et tu ne remarquas qu'il s'avança vers toi jusqu'à entendre un bruit sourd. Réflexe humain, ta tête tourna, cherchant l'origine de cet agitation. C'était lui, tombant de tout son corps au sol. Bizarrement tes yeux s'écarquillèrent, étonné de voir cet homme fragile tomber. Tu ne prêtes pas attention à la suite des événements et continua de faire tes petites courses, sans voir que Simba s'avança vers toi.

Concentré ensuite sur les aromates que tu allais utiliser pour ton plat, une voix étrangère à ta conscience résonna dans ton crâne
« Et s’il est dépressif, alors tu es fou. Voilà que tu entends des voix, maintenant ? »
Hein ? Quoi ? Qui était-ce ? Tu ne mis pas longtemps à trouver la réponse. Regardant Simba passer près de toi sans te regarder, tes sourcils se fronçaient, perplexe. Était-ce lui ? C'était une hypothèse, tu n'étais même pas sûr... Mais il était le seul à proximité de toi et cette voix te parlait... Comme si elle avait lu tes pensées. « Oh... Alors tu lis dans mes pensées petite voix inconnue qui s'incruste dans mon esprit ? » Cela te fit sourire d'entendre cette petite voix qui voulait presque te faire la morale, d'après le ton qu'elle prenait. Tu avais vraiment envie d'interpeler cet inconnu qui venait de passer, mais si ce n'était pas lui qui était entrer dans ton esprit, tu passerai pour un con à lui demander « Hey c'est toi qui parle dans ma tête ? » Tu donnerais une si bonne image de toi à un inconnu qui ne t'a rien demandé.
jae-won bang & simba miyazaki

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
2016-02-23, 19:19




la première fois par hasard | ft. jae-won bang


Dans la tête du sombre inconnu, tu sens le trouble produit par ton intrusion et une sorte de satisfaction comblait quelque peu ton égo en cet instant. Tu te rends bien compte que tu es ridicule à chercher à te venger ainsi – et que tu changerais rien chez lui, que tu ferais mieux de laisser tomber. De l’ignorer, comme tu le fais d’ordinaire avec de genre de sordide personnage. Mais tu trouves alors cet étrange plaisir à t’incruster dans ses pensées moqueuses, dédaigneuses – drôles de curiosités.

Malgré tout, malgré ton envie irrépressible de le perturber encore un peu, tu as conscience qu’il lui serait aisé de comprendre d’un instant à l’autre d’où tout cela venait si tu ne te fais pas un plus discret. A seulement quelques pas de lui, tu feins encore de l’ignorer. Jusqu’à ce que lui aussi, semble se décider à jouer.

« Oh... Alors tu lis dans mes pensées petite voix inconnue qui s'incruste dans mon esprit ? »

Dès lors, tu sais qu’il se doute de quelque chose – et tu te rappelles son regard méfiant sur toi au moment où tu passais à ses côtés –, mais tu ne t’affoles pas pour autant.  Car même s’il venait à te poser la question de vive voix, il te suffirait de mimer l’incompréhension pour qu’il continue de douter.

« On peut dire ça comme ça. Oh, et ces raviolis, vraiment, je te les conseille pas. Sauf si tu souhaites passer la nuit sur le trône, mais bon. »

Tu fais mine de t’éloigner un peu, mais ne peux résister à l’envie de t’arrêter au coin du rayon – d’observer les réactions physiques de l’inconnu au visage d’asiatique par toi-même. Alors, tu glisses ton regard vers lui, en coin, le plus discrètement possible. Qu’en dira-t-il, qu’en pensera-t-il ?

Au fond, tu n’as aucune idée de pourquoi cela t’intéresse tant. Tu pourrais passer ton chemin, c’est ce que tu fais généralement. Mais, peut-être est-ce le fait que tu ais le temps, ou une autre raison que tu ignores, aujourd’hui, celui-là fait partie de ceux qui seront parvenus à retenir ton attention. Même si tu ne ressens que du dégout à son égard. Mais prudence, tu pourrais le regretter par la suite – surtout quand tu ne maitrises pas parfaitement ton pouvoir.

Tu t’éloignes encore un peu – tu es avant tout venu ici pour faire tes courses. Tu t’enfonces alors dans le rayon d’à côté, sans perdre le fil des pensées de Jae. Tu attrapes un paquet de nouilles à la volée, et marques un pause devant les épices. Tu dois être à peu près au niveau de l’autre, s’il n’a pas bougé. Tu te demandes s’il a compris, et surtout, tu n’es pas rassasié.

« En fait, tu as raison. Je lis dans tes pensées. Ah, comme c’est facile de percer à jour des êtres dans ton genre. T’as peut-être une belle gueule, mais l’intérieur est un peu plus… repoussant. »

Tu joues avec le feu Simba, tu te sens agressif aujourd’hui et tu n’arrives pas à laisser couler les choses. Tu n’arrives pas à l’ignorer, lui. Il n’est pourtant pas le premier chez qui tu surprends des pensées qui te déplaisent, pas le premier à rire en silence.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Une fois par hasard — FEAT SIMBA
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Ce qui ne se dit pas • Simba
» Who are you for real ? ▲► ft. Simba Miyazaki
» give me things that don't get lost - simba
» ❝ afraid our aim is out of sight } simba // flashback
» my cold heart that has been dyed blue - simba

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
DAFTLAND! :: PARTY HARD :: LES RPS-
Sauter vers: