SURNOM(S) ○ Titane, au pire Tatie (ou mamie, mais là, calfeutrez vos fenêtres.) RACE ○ android. NATIONALITÉ ○ allemande. ORIGINE(S) ○ russe & bavaroise. LOCALISATION ○ le mieux c'est encore de ne pas le savoir. HABITATION ○ Aeon. | SITUATION MARITALE ○ divorcée. FINANCES ○ honorables. OCCUPATION ○ nettoyer sa lunette de visée. MÉTIER ○ Lieutenant Général de la branche Predator. ORIENTATION SEXUELLE ○ Hétérosexuelle THEME SONG ○ Luma ▬ The M Machine |
gentillesouriantehypocriteloyaleintelligenteefficaceprotectricecomiquepatientejustecasse-piedsénergique
MODIFICATIONS ○ myocarde artificiel, jambes (vitesse et agilité), poumon droit, épaule droite.
PSYCHOLOGIE ○Joséfine s'est toujours fait appeler Jo ou Tery, elle n'aimait qu'on critique son goût pour le tricot et son adresse au fusil, même en vieillissant elle ne le supporte toujours pas d'ailleurs. Méfiez-vous de mamie Titane, on dirait qu'elle est gentille comme ça, mignonne avec sa tasse de thé et son tricot - parfois agaçante avec ses remarques, mais vous n'avez pas envie de vous en faire une ennemie, elle devient mauvaise si on la prend par le mauvais bout.1m76minceathlétiqueun peu ridéetatouéeborgnesouriantevêtements amplesaime le bleuiris chocolatspeau matecheveux clairs
HISTOIRE ○C'était un déchirement à chaque retour, le même portrait encadré lui rappelait qu'elle avait prit une putain de décision. Elle regardait fixement le visage de ses deux enfants la fixant au travers du cadre numérique, comme inquisiteur. Elle pouvait bien rentrer à n'importe quelle heure, la même photo l'attendait sur le défilement, comme si ce cadre lui-même voulait lui rappeler tout les jours qu'elle avait abandonné sa famille.
Sa putain de famille, bordel.
Elle regardait le cadre de son unique œil pendant quelques minutes et lui souriait, puis lui tournait le dos et vaquait à ses occupations dans son appartement. Elle ne savait absolument pas ce qu'ils étaient devenus, ni eux ni l'homme qui la tenait par la taille sur cette photo ou elle avait encore un regard avec deux iris couleur chocolat.
Ce n'était pas l'accident qui l'avait poussée.
C'était autre chose, dirait-elle, quelque chose de plus saint que des remords, qui la pousserait chaque matin à se lever et à faire entrer dans le crâne des ordres à des petits jeunes arrogants. Il suffisait d'un peu de thé fumant pour la calmer et un bon cigare.
Surtout un cigare, en fait.
Demain serait-un autre jour.