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R O A D T R I P Δ GINGERBRO

Anonymous
Invité
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2016-01-30, 19:11
our own way we don't care about what they say
life is ours ▬ La vie est à nous ; et ont la vie comme on le veut. Au volant de cette décapotable fraîchement volé, les cheveux nouvellement teintés en roux ; tu sembles être capable de tout, de pouvoir surmonter n'importe quoi. Ton existence éphémère à trouver un compagnon de voyage, depuis quelque temps déjà, quelque chose vous lie. Kenny et toi, vous étiez deux frères d'âmes qui n'avaient pas hésité à prendre les armes de la dépravation ensemble, étant paré pour un voyage loin de tout, loin de cette ville, livré à vous-même. Sûrement parce que vous en aviez besoin, pour lui comme pour toi. Oui, dans ton cas, c'était évident Alexandre, tu avais besoin de respirer autre chose que l'amertume et l'angoisse suite à tes derniers actes. Tu n'étais pas quelqu'un de saint, pas quelqu'un de vraiment fréquentable ; mais la vie et cette société t'avais rendu ainsi ; toi qui n'étais même pas sensé exister, toi qui n'existes nul part dans les registres. T'avais laissé ton frère derrière toi, Bambi derrière toi ; pour quelques jours, quelques semaines, en fait t'en savais rien. L'égoïsme dont tu pouvais faire preuve parfois était effrayant ; mais parfois faut penser un peu à sa gueule pour se sortir de la merde.

Et il était venu avec toi, t'avais suivi ; cette idée venait même carrément de lui. De ce mec assis à côté sur le siège passager, qu'avait le sourire aux lèvres et qui contemplait la route en chantant sur la musique que t'avais mis à fond ; roulant dans cette fournaise encore et encore. Ton joint quitte tes lèvres et tu lui fourres dans la bouche sans aucune retenue ; vous étiez pareilles, vous étiez semblables ; vous étiez des frères dans cette nouvelle ère. Tes yeux ne quittent pas l'horizon, les lunettes de soleil ne t'obstruant point la vue, tu observais. Les poumons se remplissaient d'air presque pur, mais le sable que le vent soufflait venait se glisser dans tes narines et tu te mettais à tousser encore et encore avant de prendre une bonne gorgée de red bull pour rester un peu éveillé. Où alliez-vous ensemble comme ça ? Vous en aviez aucune idée ; mais voilà, pas besoin d'une destination tant qu'on a quelqu'un à nos côtés prêt à nous suivre dans les galères d'la vie. Un roadtrip, tout ce qu'il y a de plus normal, de plus banale. T'avais tiré de l'argent à des gens, t'avais fais tes petits coups bas et t'avais volé cette caisse, changer la couleur, changer les plaques ; oui Alexandre, tu avais fait les choses en grand.

Ta main vient quémander le joint à ton confrère dans un geste lent, avec Kenny pas besoin de vraiment parler, les gestes, les regards disaient tout. Comme avec Alexander ; ta moitié ; tu arrives à le comprendre ainsi et c'est peut-être pour cette raison que cette amitié qui vous lie t'est si précieuse. Lâchant le volant et appuyant sur l'accélérateur, tu lèves les bras en l'air ; ouais y'avait pas à dire Alex, t'étais complètement cinglé ; mais d'puis combien d'temps t'as pas affiché un sourire si heureux ? Depuis combien d'temps, tu ne t'es pas senti aussi libre ? Et tu hurles, tu hurles ta joie aux yeux du monde ; toi qui es sensé être un fantôme ; toi qui n'es pas sensé exister aux yeux du monde. « ON EST LÀ PUTAAAAAAAIN ! » Ouais, vous étiez là. Tu te rassois, reposes tes mains sur le volant et une de ces dernières viennent ébouriffer la tignasse du rouquin à côté. Weed dans le cerveau, mais lucide malgré tout, t'es heureux ; et ce n'est pas un sentiment éphémère, celui-là ne s'estompera pas, pas maintenant ; pas ici... Loin de cette société et de cette ville, tu ne pouvais être qu'heureux.

« Je n't'ai pas d'mandé mec... Tu sais conduire ? Non, parce que j'commence à avoir les bras et les jambes en compote sa mère. » Tout dans la finesse ; t'avais besoin de faire une pause, de boire une bière, de t'arrêter, de te dégourdir les jambes et de danser. Ouais, c'est comme ça que te rendait Kenny ; un peu plus taré, un peu plus dans la joie d'vivre.


R O A D T R I P
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Kenny
Kenny
PRÉSIDENT DU VALHALLA
R O A D T R I P Δ GINGERBRO 271686iconeknny
2016-02-24, 01:32


how to be fucked up
M T’as la gueule aussi allumée que le joint qui brûle à tes lèvres. Merde, si tu voyais tes yeux. Tu prendrais un selfie et ferait un montage pervers, sans doute. Ils sont plus rouges que le ketchup que t’es en train de foutre sur ton quignon de pain. Ouais, quand tu sors, t’as toujours du ketchup et du pain sur toi. Ça rajoute de la connerie à la situation, comme si y’en avait pas déjà assez. Putain, t’as fais tomber ton pain. C’te lose. Tu soupires et aspires une plus grosse fumée des cuisses de Marie-Jeanne. Ah Marie-Jeanne, ta pute préférée. Toujours là pour te percher quand il faut, toujours là pour te baiser l’esprit comme il faut.

Alex jubile à côté d’toi et la musique se cale sur sa voix. Tu le regardes et presque aussi tôt tu éclates de rire. Tu manques d’avaler le joint et tu t’empresses de le lui tendre lorsqu’il t’fais comprendre que c’est à son tour de sauter M-J. Y’a peu de choses auxquelles tu tiens sur Terre, pour sûr, ça se liste vite. Tes pornos allemands, tes jeux vidéos, ta bite, ton chat… Bon, on va pas les énumérer, ça n’sert à rien. Venons en au fait : tout ça pour dire qu’il en fait partie. Eh oui. Tu tiens à lui. Votre amitié, aux yeux du monde, peut se résumer aux vices que vous partagez et à ce goût louche pour la dépravation. Mais non, c’est plus que ça. Tu le sais, tu le sens et il le sait, il le sent. Vous n’êtes pas sortis du même vagin, mais vous partagez un lien plus fort que le sang. Alex, tu l’aimes. Ouais, tu l’aimes.

Il gueule à s’époumoner et ton rire perdure plus longtemps. T’as le ventre qui s’fait envahir de papillons. Ça fait combien d’temps que  t’as pas été aussi heureux ? C’est que tes responsabilités de Président, ça t’coupe aussi bien la libido que la joie de vivre. Mais là, dans l’instant, t’es ivre. Pourtant t’as pas bu, ou presque pas. Tu tapes dans tes mains et te déhanches sur ton siège. Ça te chauffe le cul. Ce road-trip, pas besoin d’être Dieu pour deviner qu’il restera gravé dans les anales. « Je n't'ai pas d'mandé mec... Tu sais conduire ? Non, parce que j'commence à avoir les bras et les jambes en compote sa mère. »

T’hausses un sourcil et t’apprêtes à râler. Ouais tu sais rouler, mais t’as pas envie, ça te casse les couilles. Pas la peine de le faire savoir, trop tard. Tu te retrouves mains sur les volants. T’en faut pas plus pour retrouver ton air goguenard. T’appuies comme un taré sur l’accélérateur et pousse le volume à fond. Eminem. PUTAIN LE PIED. Tu exultes. Tu rapes sur ses paroles.

Meeeeeec, ce soir, on se retouuuuurne !

Tu t’allumes une clope et fouille dans ta poche pour sortir un sachet. Y a pas mal de pilules de diverses tailles et couleurs qui se bousculent dedans. T’as le regard aussi malsain que stupide. Tu l’agites sous le nez d’Alex. Du coup tu regardes plus trop la route, mais, on s’en fou nan ?

Mate un peu c’que mon dealo’ m’a filé ! MDMA MON GARS !

En fait non, on s’en fou pas de la route. Tu manques de sortir de celle-ci et de te prendre une borne de béton. Chaud. Ce serait con que tu vous tues maintenant. T’essayes de te concentrer un peu plus et ta conduite se stabilise. Ah ouais ? T’as la clope qui tombe de tes lippes. Elle atterrit sur ton entre-jambe et brûle ton jean. Tu paniques et lâche une nouvelle fois le volant.

MEC, MEC, ENLÈVE LA !

T’as l’air tellement con. Le pire, c’est que tu te marres. Tu commences à sentir la défonce monter et d’ici quelques heures, tu seras à l’égal d’un chien cherchant à bouffer sa queue. Un numéro d’cirque quoi. Qu’importe, t’as trop besoin de te déconnecter de la réalité. T’as trop besoin de ce tête à tête avec lui. Ça fait tellement longtemps que vous n’vous êtes pas retrouvés. Lui et ses problèmes de Gang, toi et tes problèmes de poursuites. Pas cool la réalité. C’est meilleur de lui faire un fist et de filer enchaîner les frasques.

Après quelques minutes, et pour de bon espérons, tu reprends tes aises et redresse la voiture. Le paysage défile, ça t’file le tournis. Tu te gares sur le bas côté sans demander la permission. Tu sors, tu vas pisser sur un cactus. Putain, tu t’approches trop, ça te pique la bite. Pov’ crétin… Puis tu fais un signe à Alex pour qu’il t’envoie une bière. Au même moment, tu captes que pas loin de vous… Y a un parc avec des lamas. Ta mine s’illumine, ton sourire s’élargit. Tu plantes tes yeux dans les siens.

Mec, tu penses à c’que je pense ?

Voler un lama… Allons, mais non… Jamais…
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Anonymous
Invité
Invité
2016-03-01, 23:08
our own way we don't care about what they say
seek bromance ▬ Vous échangez vos places, lui conduisait et toi tu appréciais. T'as les bras en l'air, les mains qui font des vagues, le joint qui t’enivre de toutes ces sensations que t'as jamais vraiment connues, mais que le con que t'es désirait à tout prix ressentir. Tu t'sens bien, vraiment bien ; mieux qu'hier, mieux que cette semaine pourrit, mieux que c'jour ou t'as fais péter la demeure de Vitaly. Les bras endolori, tu t'masses avec véhémence les épaules, chopant de l'autre une canette de Guiness dans la glacière sur les sièges arrière. Le terrain plat, le sable qui vole à votre passage à toute vitesse. Vous vous foutiez de tout en cet instant, y'avait que Kenny et toi et le reste n'avait plus aucune importance. Ce roadtrip, c'était vous, votre délire, le reste n'existait pas. C'était là tout ce que tu voulais pour c'voyage, oublier le reste ; oublier la peine, oublier l'enfer d'la vie qui t'baisait chaque jour depuis l'enfance. Kenny, le frère qui t'en a sorti.

Eminem, real slim shaddy, le volume est pousser au max par le rouquin qui appuie encore plus sur l'accélérateur, faisant rugir le moteur et le poussant dans ses retranchements ; et toi, tu ne peux pas t'empêcher de rire, putain d'puis combien de temps t'as pas arboré un visage aussi innocent ? T'en sais rien Alex, mais avec Kenny, tu ne pouvais clairement pas t'empêcher d'te marrer. « Meeeeeec, ce soir, on se retouuuuurne ! »Ce n'était même pas négociable, c'était même là le plan de base. Partir loin, fumer, se déchirer le crâne à coup de substances toutes plus illégales les unes que les autres, ressembler à des schlagg badass avec la chevelure rousses au vent, le regard perdu dans le vague avec des mines de cassos bien dépravé. Vous aviez lui comme toi cette envie de malade de vous détruire les neurones, de passer en mode "nique la vie, nique la logique". Le rouquin s'allume une clope et tu continues de fumer ton joint en passant une main dans ta tignasse de potiron, p'tain t'avais été jusqu'à devenir roux pour l'occasion, ce n'était clairement pas saint. « Mate un peu c’que mon dealo’ m’a filé ! MDMA MON GARS ! » Le début des emmerdes, le début d'la catastrophe. Tu n'as même pas le temps d'lui dire de faire gaffe que vous deviez de la route et v'la que tes mains viennent chercher le volant après avoir gueulé un « FAIT GAFFE À LA ROUTE ESPÈCE DE BALTRINGUE !»

La conduite est stabilisée, mais ton cœur lui bat à un rythme de malade. Putain, est-ce que vous alliez survivre au moins à ce roadtrip ?! Rentrer à pieds serait limite plus probable. Et cela ne va pas mieux en continuant. La clope tombe, perfore son pantalon et ta main vient cogner ta propre tronche dans un facepalm assourdissant.« MEC, MEC, ENLÈVE LA ! » Et tu t’exécutes super vite, détachant la ceinture de sécurité, attrapant la clope qui passait à travers la matière de son jean. « JE L’ENLÈVE, MAIS N'LÂCHE PAS LE VOLANT SOMBRE CON !» Oui, ce roadtrip allait être mouvementé.

Pourtant, Alex, tu ne peux pas t'empêcher de rire de vos conneries. Vous pourriez finir dans un mur que tu trouverais sans aucun doute la situation ultra drôle ; est-ce que Kenny avait le don de tout rendre fun ? Peut-être qu'ouais, plus tu passais du temps avec lui, plus t'en avais l'impression et ce n'était clairement pas déplaisant. Voilà que vous vous garez, cette envie de pisser qui vous prend au même moment, cette envie d'lâcher les litres de bière qui ont fini dans la vessie, chacun sur un cactus, chacun avec un soupir de soulagement... Ouais, pisser, ça faisait un bien fou bordel. Tu finis avant Kenny et tu lui envoi une bière dès qu'il en esquissa la demande avant de te hisser sur le capot de la voiture et de regarder ce que ton confrère semblait fixer... Un parc. Avec des lamas. Des LAMAS putain. Cet animal totem, fallait à tout prix en appeler un BOB et la voix de ton gingerbro brise de nouveau le silence.« Mec, tu penses à c’que je pense ? » Voler un lama ? Oh que oui. Tu hoches la tête et tu lâches alors après avoir fini ta canette. « Allons chercher Bob frère, il doit se sentir ultra seul dans cette prison. »

Et tu n'attends même pas qu'il t'arrête ou quoi que ce soit. Non-non, tu étais sérieux. Pas de retour en arrière possible. Pour ce genre de voyage, pour ce genre d'événements, il fallait un animal totem.. Bob le lama. Plus de choix. T'approches d'une des barrières, tu ne cherches même pas à te cacher, ta main est posée sur le bois que tu fais fondre instantanément, y'a personnes ? Tant-mieux, ce serait encore plus rapide. Comme un Mongole, tu t'mets à courir les bras lever en beuglant comme un idiot et l'un des lamas ne semble pas être effrayé par ta conduite, c'est bien le seul sur la trentaine qui sont là. Ce serait lui, ouais, lui s'était Bob le lama ; le lama trop stoïque et badass. Tu pousses son gros cul et il ne crache même pas, il avance de lui-même, à croire qu'il demandait que ça en plus. « Bro, voilà Bob le lama, regarde son pelage please, c'était un appel, il est presque rouquin lui aussi ! »

T'entends quelqu'un qui hurle derrière ; sans doute, la proprio. Tu fous le lama à l'arrière en le poussant et en le suppliant. « Bob fait pas chier et monte bordel ! » Y'a des coups de feu, putain, vous n'étiez pas au Texas pourtant ! Dans un saut, tu te mets à la place conducteur et dans une marche arrière, tu fais un dérapage contrôler pour repartir de là d'où vous veniez ; vous alliez continuer votre route vers un monde meilleur, vers le havre de la défonce. « Putain, j'ai flippé ma race, tiré sur des gens pour un lama. T'étais heureux là-bas Bob ? » Mais le lama ne répond pas et tu tournes alors vers Kenny avec une mine déconfite avant de foutre de nouveau tes lunettes de soleil devant ta gueule. « Il dit rien, il approuve. Il n'était pas heureux là-bas. »

Vous êtes cons, vous êtes peut-être même dans la merde ; mais osef. Fuck la réalité, fuck la banalité ; il était temps pour vous d'partir en sucette et d'jouer aux cons ; cela vous allait super bien. «Roule-moi un joint Ken', tu m'dois bien ça vu que j'conduis. » Où alliez-vous ? T'en savais rien, mais ce n'était pas ça l'important... Le voyage. Juste le voyage.


R O A D T R I P
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R O A D T R I P Δ GINGERBRO
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